Monde de Stars
Sophie Durocher en ajoute une couche et trouve qu'Anne Casabonne est nulle en entrevue
Facebook 

Sophie Durocher en ajoute une couche et trouve qu'Anne Casabonne est nulle en entrevue

Elle y va de solides exemples.

Monde de Stars

Monde de Stars

La nouvelle a créé toute une commotion dans le monde politique, lundi. Anne Casabonne se présentera comme candidate pour le Parti conservateur du Québec (PCQ) en vue des élections partielles dans la circonscription de Marie-Victorin. 

Nombreux sont ceux à être sceptiques et à se demander pourquoi le chef du parti, Éric Duhaime, a choisi une femme qui a déjà tenu plusieurs propos anti-vaccin par le passé. Sophie Durocher fait partie du lot et n'hésite pas à ajouter son lot de critiques au sujet de la comédienne, dans sa chronique publiée mercredi matin dans le Journal de Montréal et intitulée Casabonne dans un parti qui se fout de la culture.  

Sophie Durocher ne critique pas le talent de comédienne que possède Anne Casabonne, qui a notamment crevé l'écran dans Unité 9, La galère et Sans rendez-vous. « Mais avant de se joindre au parti d’Éric Duhaime, Anne Casabonne aurait peut-être dû se renseigner sur la position de son chef et son parti sur... la culture », souligne-t-elle. 

Elle cite d'ailleurs des propos d'Éric Duhaime datant de 2010 et 2012, alors qu'il était encore animateur de radio à Québec. Il avait entre autres affirmé que les artistes « peuvent être dangereux quand ils se prennent pour des scientifiques et influencent l’opinion publique » et qu'ils devraient « rester en dehors de la politique ». 

« J’ai fouillé dans les résolutions du PCQ du congrès de novembre 2021 pour y chercher les positions du parti sur le financement des arts, sa politique culturelle et... je n’ai rien trouvé », ajoute Sophie Durocher. 

D'ailleurs, la chroniqueuse n'est pas impressionnée par les entrevues qu'Anne Casabonne a données à Paul Arcand, Denis Lévesque, Paul Larocque et Dominic Maurais. « Hé boy, c’est là qu’on se rend compte que sans un scénario écrit par un auteur, elle a beaucoup moins de facilité à s’exprimer. Quand Paul Larocque lui a demandé ce qu’elle pensait des opinions de Duhaime sur les subventions culturelles, elle a répondu : "Ce qu’on s’aperçoit dans le milieu culturel, c’est que souvent la voix qui est subventionnée c’est la voix que le gouvernement veut entendre" », cite en exemple la chroniqueuse. 

« De kessé ? », se demande Mme Durocher. 

Lisez sa chronique complète ici.