Monde de Stars

Hugo Dumas crie au malaise en voyant Marie-Louise et Tim à Si on s'aimait

Rien ne va plus entre les deux candidats.

Monde de Stars

Monde de Stars

Hugo Dumas a écrit noir sur blanc ce que bien des téléspectateurs devant leur écran pensent tout bas en regardant Si on s'aimait. Dans sa chronique publiée lundi matin dans La Presse intitulée Tous les cris et les S.O.S de Marie-Denise !, le journaliste culturel estime que Marie-Denise mériterait mieux. Il se demande aussi pourquoi elle persiste dans cette « relation ». 

« On le sait, Marie-Denise est rendue à l’âge où elle mérite de croquer dans de bonnes fraises bio, et non dans des fraises moisies que Tim lui sert directement sur une table sans nappe ni serviette de table, franchement », résume-t-il. Surtout que Tim reçoit une pension du gouvernement fédéral. 

Il observe d'ailleurs que Louise Sigouin ne semble pas remarquer que Marie-Denise « envoie des cris et des S.O.S. – d’une Terrienne en détresse » face à Tim. Sa tenue négligée, son mode de vie, et bien d'autres choses font en sorte que Marie-Denise ne semble pas du tout en train de flancher pour son partenaire. « C'est triste à mort de voir des gens qui sont morts à moitié », avait-elle déclaré. 

« Aussi, Marie-Denise a déjà qualifié Tim d’homme gris et terne. Et aucune énergie sexuelle ne circule entre ces deux-là, c’est aussi malaisant qu’une mauvaise blague de suicide d’Éric-Guy devant Isabelle », compare Hugo Dumas avec raison. 

Le chroniqueur rappelle que la coiffeuse semi-retraitée a déjà eu le choix de changer de partenaire et avait alors refusé, même si elle avait confessé que Sylvain, de la saison précédente, aurait plus été son genre. 

« On se souviendra de Sylvain, alias M. Party pyjama disco, comme l’homme le plus patient du Québec pour avoir encaissé une tonne de remarques désobligeantes de Brigitte jusque dans une yourte à Charlevoix. Un vrai saint », rappelle Hugo Dumas. 

Hugo Dumas ajoute ensuite que le couple formé par Tim et Marie-Denise ne vivra aucun « moment guérissant » et compare la relation au syndrome de Stockholm, un phénomène où une victime développe une forme de sympathie pour son bourreau. 

Lisez sa chronique complète ici. 

Source: La Presse