Sophie Durocher lance une pique à Martin Matte après son coup de gueule contre le gouvernement

La semaine dernière, Martin Matte poussait un gros coup de gueule contre le gouvernement et sa façon de gérer le confinement. Si plusieurs voient la conférence de presse d’hier comme une réponse à l’humoriste, Sophie Durocher n’est pas du même avis.

Dans une chronique publiée ce matin dans le Journal de Montréal, Sophie Durocher revient sur la sortie publique de Martin Matte sur les réseaux sociaux. La chroniqueuse titre d’ailleurs son article : « Martin Matte, l’influenceur? »

Dans cette chronique, Sophie Durocher vient déboulonner les mythes qui feraient penser que Martin Matte aurait eu quelconque influence sur le gouvernement et l’annonce d’un déconfinement.

Voici un extrait de la chronique de Sophie Durocher publiée ce matin :

« Je savais que Martin Matte, gagnant du prix Artis de la personnalité masculine de l’année, était un homme important, influent et puissant. Mais je ne savais pas qu’il était capable à lui tout seul de faire virer de bord le gouvernement.

Non, je blague. Je ne crois pas une seule seconde que c’est à cause du texte que l’humoriste a écrit sur Facebook samedi que François Legault a convoqué une conférence de presse hier à 17 h.

Mais c’est assez drôle de voir à quel point il y a des gens qui sont convaincus que quand Martin Matte s’exprime, il y a un téléphone rouge qui sonne dans le bureau de François Legault… »

Au travers de ses lignes, la chroniqueuse en profite pour lancer une petite pique à Martin Matte et à celles et ceux qui trouveraient qu’il était assez influent pour agir sur la politique provinciale.

« Vous pensez que Martin Matte est tellement puissant que c’est lui qui dicte l’agenda du premier ministre du Québec ?

Mais c’est seulement quand Martin Matte le dit que le gouvernement Legault écoute ?

Désolée de péter votre balloune, chers amis, mais si Martin Matte avait vraiment voulu utiliser de son « pouvoir d’influence » sur le gouvernement, vous ne pensez pas qu’il aurait fait une sortie percutante lors du gala Artis alors qu’il avait un micro devant lui et un public d’un million deux cent mille personnes suspendues à ses lèvres ?

Eh la la ! comme dirait l’autre. »

Nous vous invitons à lire la chronique de Sophie Durocher en intégralité dans le Journal de Montréal.