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Hugo Dumas fait état du climat de travail « malsain » sous Pascale Nadeau
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Hugo Dumas fait état du climat de travail « malsain » sous Pascale Nadeau

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Le départ de Pascale Nadeau du Téléjournal week-end à Radio-Canada continue de faire couler de l'encre. Dans une chronique publiée samedi dans La Presse, Hugo Dumas fait état d'un « climat malsain » sur le plateau de l'émission. 

« Si les plus proches collaborateurs de Pascale Nadeau l’appuient de façon inconditionnelle, plusieurs anciens collègues de la cheffe d’antenne dénoncent le climat de travail malsain qui a régné au Téléjournal week-end de Radio-Canada sous sa gouverne », écrit-il d'abord. 

Ce sont en tout sept personnes différentes qui se sont confiées durant l'enquête indépendante sous le couvert de l'anonymat par crainte de représailles. Ainsi, le chroniqueur résume comme quoi l'ancienne chef d'antennes aurait dénigré des collègues, crié sur le plateau, en plus d'avoir contribué à une atmosphère négative. 

« Pendant qu’un topo jouait en ondes, elle pouvait se moquer de l’accent tonique du reporter qui n’était pas au bon endroit. Elle disait que c’était de la merde, que ça ne devrait pas aller en ondes, que c’était mauvais », a d'ailleurs fait savoir une employée durant l'enquête menée par la firme externe, qui a finalement débouché sur un mois de suspension sans solde pour Pascale Nadeau. 

Une autre journaliste a confirmé que Pascale Nadeau aurait ri d'une journaliste française qui « finissait toujours ses phrases avec des “euh” », dans son reportage. « C’était toujours fait dans le but d’humilier la personne. Et tout le monde en studio entendait ce que Pascale disait », dit-elle.

« En plus, elle ridiculisait des gens qui n’étaient même pas là pour se défendre. On ne devrait pas entendre ça. C’est la seule qui faisait ça, avec un micro sur elle », ajoute un technicien qui a travaillé durant près de 10 ans avec la cheffe d'antenne.

Hugo Dumas cite également en exemple la soirée des attentats de Paris le 13 novembre 2015. Pascale Nadeau aurait été en furie en raison de pépins techniques survenus durant la retransmission en direct. 

« Aussitôt que la caméra arrêtait, elle se mettait à hurler comme une déchaînée. Je comprends qu’elle était stressée, tout le monde l’était. Mais on n’a pas le droit de traiter les gens de la sorte. Est-ce ça qu’elle appelle être exigeante envers ses équipes ? », s'est questionnée une journaliste qui travaillait ce soir-là et dont les propos sont rapportés par le chroniqueur de La Presse. 

Mais si certains journalistes ont critiqué le comportement de Mme Nadeau, d'autres, dont son réalisateur et sa cheffe de pupitre, la défendent sans ménagement. 

« Que Pascale soit satisfaite ou non du travail, tu le sais tout de suite et elle n’y va pas par quatre chemins. Tu as toujours l’heure juste avec Pascale. À ma connaissance, elle n’a jamais tenu de propos déplacés, elle n’a jamais rabaissé ou injurié qui que ce soit », a fait savoir à Hugo Dumas l'une des signataires d'une lettre d’appui à Pascale Nadeau.

« Il pouvait lui arriver de se fâcher lorsque les choses ne tournaient pas rond. Mais ses commentaires n’étaient jamais des attaques personnelles et concernaient toujours le contenu en ondes », ajoute une deuxième personne qui a signé la lettre et qui s'est confiée de manière anonyme à Hugo Dumas. 

Lisez sa chronique complète ici



Source: La Presse