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Et le prix de la plus belle robe du Gala de l'ADISQ est remis à...

Elle était sublime!

Monde de Stars

L'industrie de la musique québécoise était en fête, dimanche soir, à l'occasion du 40e Gala de l'ADISQ. Comme c'est le cas à chaque gala qui réunit le gratin du petit monde du show business québécois, c'était l'occasion pour nous artistes préférés de se mettre sur leur 31 et on avait bien hâte de voir les robes de soirée et les complets qu'avaient choisis les stars pour cette grande occasion. 

On a eu amplement l'occasion de parler du look du coloré chanteur Hubert Lenoir qui a énormément retenu l'attention. Mais parmi les femmes, on doit dire qu'on a eu un énorme coup de coeur pour le look de l'une de nos plus belles femmes du Québec: la magnifique Magalie Lépine-Blondeau. C'était une soirée importante pour la comédienne puisque non seulement son amoureux Louis-José Houde était l'animateur de cette grande fête de la musique québécoise, mais son papa Marc Blondeau célébrait son dernier Gala de l'ADISQ en tant que Président directeur-général de la Place des arts. 

La comédienne avait donc toutes les raisons d'être habillée avec classe et élégance, tout en ajoutant une petite touche sexy. Et on doit dire qu'elle a réussi à la perfection.

Voici quelques photos de la sublime Magalie qui était en classe et en élégance dans sa robe verte:



Et voici une photo tirée de la story Instagram de la petite soeur de Magalie Lépine-Blondeau, Eugénie, avec leur papa qui célébrait son tout dernier gala en tant que PDG de la Place des Arts:

Yann Perreau attaque Justin Trudeau devant tout le monde

On le sait, tout bon gala qui se respecte doit avoir au moins un ou deux moments où un artiste engagé lance un message fort de critique envers le gouvernement en place. Et dimanche, c'est de la bouche de Yann Perreau que ce moment est venu.

L'excellent chanteur, qui était d'ailleurs le co-animateur du 1er Gala de l'ADISQ mercredi dernier, a interpellé le premier ministre canadien Justin Trudeau qui était présent dans la salle.

«Bonsoir, bonsoir. En passant, j'aimerais souligner que hier c'était le 90e anniversaire d'une légende nationale: le poète de Natashquan, monsieur Gilles Vigneault. Bonne fête Gilles! Et je veux surtout le remercier pour une petite phrase sublime qui a fait le tour du monde. "Mon pays, ce n'est pas un pays c'est l'hiver". Et oui, je trouve ça beau. Et j'ai entendu dire que monsieur Vigneault est un de vos chanteurs préférés, monsieur Trudeau. C'est très touchant, vous avez beaucoup de goût. Bravo! Par contre, quand vous achetez un pipeline de cinq milliards, j'ai plus l'impression que mon pays ce n'est pas un pays, c'est une pétrolière. Et ça aussi ça fait le tour du monde mais c'est un petit peu plus gênant.»

Le chanteur a eu droit à une belle ovation pour son message, tandis qu'on a vu le premier ministre rire jaune alors que la caméra était braquée sur lui.

Voici le segment en question si vous l'avez manqué:

Plus grand malaise de l'histoire de l'ADISQ

Un des moments les plus loufoques de cette soirée s’est produit lorsqu’Hubert Lenoir s’est enfoncé son Félix bien profondément dans la gorge, après avoir remporté le prix de la Chanson populaire de l’année, pour sa pièce Fille de personne II. Un moment qui en a choqué plus d’un et qui va assurément rester dans les annales du gala.

Mais ce n’est RIEN en comparaison à un autre moment auquel on a assisté dimanche soir. C’est lors de son numéro où il nous a fait revisiter le gala de 1992 - le tout premier qu’il a regardé à la télévision - que Louis-José Houde nous a présenté ce que nous semble être - de loin! - le moment le plus malaisant de l’histoire de l’ADISQ.

Cette année-là, la chanson L’Aigle noir de Marie Carmen était en nomination dans la catégorie Vidéoclip de l’année, et l’humoriste François Pérusse en a fait une parodie qui ne pourrait absolument plus passer en 2018. En fait, on ne sait même pas comment ça a pu être accepté en 1992. Plutôt que de chanter L’Aigle noir, il a rebaptisé la pièce « Le nègre noir ». Et au moment où il chante « Et venant de nulle part, surgit un... nègre noir ». Et à ce moment, c’est nul autre que Normand Brathwaite qui surgit sur scène. Un moment d’anthologie... mais pas nécessairement pour les bonnes raisons. 

Voici la vidéo en question :

Louis-José Houde se souvient de son premier Gala de l'ADISQ... en 1992

L'animateur du Gala de l'ADISQ, Louis-José Houde, a fait une compilation des moments les plus loufoques, et d'autres franchement regrettables, du gala de 1992, le premier qu'il a vu alors qu'il avait 15 ans.

Posted by Radio-Canada Arts on Sunday, October 28, 2018

Les réactions dans l’assistance démontraient à quel point on a fait du chemin en seize ans. Mais c’est quand même hallucinant que ça ait pu passer il n’y a pas si longtemps. On n'en revient pas encore.

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