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Pierre Bruneau songe à la retraite et a même une date pour se retirer du bulletin de nouvelles

Il s'est confié à l'Agence QMI.

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Alors que cela fait 45 ans qu'il travaille pour TVA Nouvelles, Pierre Bruneau a confié à l'Agence QMI qu'il songeait à la retraite. 

« C'est un euphémisme », a-t-il expliqué en souriant. Il ajoute que plusieurs lui posent la question, à laquelle il ne veut pas répondre.

« J’ai une date dans ma tête », a-t-il toutefois précisé. Il ajoute que ses patrons ne lui font aucune pression pour partir et que c'est lui qui décidera du moment où il tirera sa révérence. 

« Mieux vaut partir en demande, qu’on nous demande de partir... », dit-il en citant un proverbe chinois. « Tant et aussi longtemps que j’aurai cette passion, je vais réussir à passer à travers tout ça... »

Rappelons que c'est le 19 octobre 1976 que Pierre Bruneau a pris le micro pour la première fois à TVA, alors Télé-Métropole, dans l'émission Dix vous informe. « Je m’en souviens comme si c’était hier. J’étais extrêmement nerveux, bien sûr! Je venais d’avoir 24 ans. C’était tout un défi pour moi... », a-t-il raconté à l'Agence QMI. 

Ainsi, mardi dernier, il célébrait son 45e anniversaire en tant que chef d'antenne à la chaîne médiatique. « De l’élection du Parti québécois en passant par Polytechnique, suivis de la crise autochtone, la crise du verglas, les inondations au Saguenay, le drame du train à Lac-Mégantic... Tout ce qui s’est passé au Québec, j’en ai été témoin. C’est assez bouleversant... », énumère Pierre Bruneau. 

« Ça passe très, très vite, enchaîne Pierre Bruneau. C’est là qu’on s’en rend compte. Quand j’ai commencé à TVA, j’avais un fils, Charles [aujourd’hui décédé], qui n’avait pas encore un an. Aujourd’hui, j’ai trois enfants et je suis grand-père cinq fois. Le plus vieux de mes petits-enfants a 21 ans. Tout ça nous ramène à la réalité de la vie. Il s’en est passé, des choses. Les générations se sont succédé... », a-t-il ajouté. 

Pierre Bruneau a aussi eu de bons mots pour sa conjointe, Ginette, qu'il estime être un « roc indispensable » dans sa vie. 

« Elle l’a toujours été. Je l’ai toujours considérée comme ma complice numéro 1. Si elle n’avait pas accepté mon travail tel qu’il est, très exigeant, je pense que ça n’aurait pas fonctionné. On est capables tous les deux de compromis. Mais, quand on a nos moments à nous, ce sont nos moments à nous. Nos vacances sont juste pour nous », explique le journaliste. 

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