Pierre-Alexandre met les choses au clair concernant Sabrina à Occupation Double

Après avoir été éliminé dans l'épisode de dimanche à Occupation Double dans l'Ouest, Pierre-Alexandre est revenu sur la saga qui l'impliquait avec Sabrina, juste avant son départ. 

En entrevue au site web Showbizz.net, le pilote de ligne de 33 ans explique qu'il aurait aimé qu'on en voit davantage pour mieux comprendre. « J'aurais aimé ça qu'on voit que je passe plus de temps avec Sabrina. Je trouve que j'ai eu l'air de m'emballer vraiment rapidement et j'aurais aimé ça qu'on voit tous les moments où on a ri ensemble et où on se tiraillait, qu'on voit qu'on avait une véritable connexion parce que là... J'ai l'impression qu'il n'y a pas juste les gars qui ne le croit pas, j'ai l'impression que le public non plus. Moi, en écoutant les shows, je me mettais à la place du public et je me dis : " Ok.... Je trippe dessus après lui avoir parlé deux secondes". Ça fait intense un peu. Mais, ç'a été beaucoup plus que ça », explique-t-il. 

Malgré toute la bisbille que la situation a créée, Pierre-Alexandre n'en veut pas à Sabrina. « Je pense que Sabrina fait beaucoup d'évitement. Les trois personnes qui se perdent dans le jeu actuellement, c'est les personnes qui sont les plus jeunes pas mal. Je pense que Sabrina est perdue. Je ne pense pas qu'elle ne fasse rien avec de mauvaises intentions. Je pense qu'elle est juste perdue et elle oublie la vérité », croit le pilote de ligne. 

« Malgré son parcours difficile, je ne pense pas que ce soit nécessaire de la juger sur qui elle est comme personne par rapport à comment elle agit dans le show », souligne l'exclu. 

En entrevue avec Narcity, il est également revenu sur cette histoire : « Je pense pas que ça aurait prouvé mon point. Je pense que le fait qu'elle essaye de m'embrasser a déjà prouvé mon point. Moi, je me voyais dans l'enveloppe le lendemain et j'avais pas envie d'être le dindon de la farce. Moi je l'ai dit, j'étais intéressé par Sab, comme je te dis, je connaissais pas toutes les histoires et je me fiais pas à ça. [...] Ça me tentait de l'embrasser, mais pas dans cette situation-là. »