«Tout mon primaire, ç’a été un cauchemar.»
Pier-Luc Funk a confié avoir traversé des années très difficiles lorsqu'il était à l'école primaire.
C'est le 14 septembre dernier, lors de son passage à l'émission Le beau dimanche de Jeannot, qui est animée par Jean-Sébastien Girard et diffusée sur ICI Première, que Pier-Luc Funk a livré un témoignage au sujet de ses années à l'école primaire.
Alors que Pier-Luc Funk est connu de tous les Québécois et de toutes les Québécoises depuis plusieurs années, le comédien a confié qu'à l'école primaire, il a souffert d'intimidation.
Le comédien a raconté: «Hey non, moi je n'étais pas cool, là, J-S, je n'ai pas été cool du tout (...) Jusqu'à Jean-Carl, que j'ai rencontré à 12 ans, j'avais un ami, je n'étais pas cool du tout, là, moi, à l'école (...) Je ne veux pas faire pitié, je ne suis pas le seul au Québec qui a vécu de l'intimidation, mais ouin... Moi, ç'a été comme terrible, là, pour ça... »
Pier-Luc Funk a poursuivi en ajoutant: «Je me faisais battre. J'arrivais chez nous la lèvre en sang, une main étampée dans le dos, plus de tuque, plus de boîte à lunch, plus d'affaires. Puis ma mère, elle ne savait plus quoi faire. Elle me changeait d'arrêt d'autobus pour que j'arrête de me faire écœurer par mes voisins. Et là, ils trouvaient mon nouvel arrêt d'autobus (...) Donc tout mon primaire, ç'a été un cauchemar.»
Toujours lors de son passage à la même émission, Pier-Luc Funk a expliqué qu'un ami a récemment fait la rencontre de ses anciens intimidateurs et ceux-ci ont déclaré qu'ils n'avaient rien à se reprocher, puisque le comédien a très bien réussi dans la vie.
Voici un extrait de l'entrevue avec Pier-Luc Funk:
Enfin, le comédien a admis qu'au lieu de se laisser ronger par l'amertume, il préfère se concentrer sur le positif: «Après ça, moi, je regarde ce qu’ils sont devenus et je pense que j’ai gagné au bout du compte (...) Ça, ça m’a fait un petit velours.»
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