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Monde de Stars
On apprend de nouveaux détails sur Karl Tremblay dans un hommage incroyable à Tout le monde en parle
Radio-Canada - Tout le monde en parle  

On apprend de nouveaux détails sur Karl Tremblay dans un hommage incroyable à Tout le monde en parle

Le chanteur s'est éteint le 15 novembre 2023 à l'âge de 47 ans

Cimon Asselin

C'est avec énormément de tristesse que nous avons appris le décès de Karl Tremblay le 15 novembre dernier. Le célèbre chanteur des Cowboys Fringants n'avait que 47 ans. Dimanche soir, Mara Tremblay, François-Étienne Corbin et Laurent Saulnier étaient à Tout le monde en parle afin de lui rendre hommage. Un moment exceptionnel avec de grandes émotions. Nous avons également appris de nouveaux détails sur l'être humain incroyable qu'était Karl Tremblay. Vous pouvez lire leurs propos plus bas. 


Guy A.
 : « Mara, tu es autrice-compositrice-interprète. Tu es très proche des Cowboys Fringants depuis presque 30 ans. François-Étienne Corbin, tu es animateur à RDS et Karl était ton ami depuis 15 ans. Laurent Saulnier à l’époque où tu étais journaliste culturel à Voir, tu as assisté à la naissance des Cowboys Fringants et tu as suivi leur parcours à titre de programmateur des Francofolies de Montréal, notamment (…) Mara, tu étais l’amie de Karl et sa blonde, Marie Annick. 27 ans d’amitié vos unissent tous les trois. Tu soupais avec eux il y a à peine trois semaines. Quels souvenirs tu gardes de cette dernière rencontre avec Karl Tremblay ? » 


Mara
 : « La force, la résilience à la fois. C’est la première fois que je sentais et que j’étais témoin que Marie et Karl acceptaient le départ. Ça faisait trois ou quatre ans que je le savais. Elle me l’avait confié au départ et tout le temps il y avait de l’espoir. Toujours ils allaient de l’avant. Il avait cette espèce de force. C’était un roc, c’était un tank ce gars-là et Marie aussi. Et le groupe. Je tiens à préciser que tout le groupe de musiciens qui les accompagnaient aussi… les techniciens… tout le monde était comme tellement fort. Et ce dernier souper-là, j’avais l’impression que c’était en effet une sorte d’adieu. Il y avait de la résilience. Il y avait quelque chose de très… ils étaient en paix par exemple. Mais les deux étaient comme on ne fera plus de spectacle. C’est terminé. » 

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Guy A
. : « François-Étienne, Karl et toi, vous vous connaissez depuis une quinzaine d’années. Dans une publication cette semaine, tu disais que si certains parlent de son impact sur la scène musicale, toi ce qui t’a profondément marqué, c’est l’impact qu’il a eu sur les êtres humains. Quel impact il a eu sur toi ? »


François-Étienne 
: « Oh my god (…) on était tous au même niveau avec Karl. Puis, tes amis que tu amenais dans la gang, parce qu’il était toujours ouvert à en avoir d’autres qui se joignent au groupe, ils étaient sur le même niveau. Il m’a appris… je me souviens d’avoir été au dépanneur avec lui lors d’un tournoi de poker. On avait manqué de breuvages. À l’occasion comme ça, on profite d’une pause et on s’en va au dépanneur. Puis, il ne peut pas aller au dépanneur Karl sans que quelqu’un ne le reconnaisse pas. Quand il se faisait apostropher, souvent c’était très intense. Donc là c’est « KARL TREEEEMBLAY » ! Moi je fais le saut, et lui aussi. Mais rapidement, il tourne la conversion vers celui qui l’a abordé. Moi j’ai appris beaucoup de ça, étant un minuscule membre de la colonie des médias ne sachant pas toujours comment réagir avec les gens. Je l’ai regardé faire et j’ai fait c’est comme ça qu’on parle au monde. Pis comme il mettait tout le monde sur un pied égal, je retiens ça de lui. » 

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Guy A. : « Laurent, en tant que journaliste, tu as vu les Cowboys Fringants à leurs tout débuts au café Campus à Montréal. Raconte-moi cette première rencontre. As-tu senti que tu assistais à la naissance d’un phénomène ? » 


Laurent
 : « Ben ce qui est le plus étonnant de ça, je pense, ce n’est pas tant le show que je me rappelle que la montée des marches vers le café Campus, où j’étais avec Jean-Robert Bisaillon, qui avait parti à l’époque un OSBL qui s’appelait la SOPREF et qui voulait aider tous les bands qui n’étaient pas signés sur quelque label que ce soit. Et Jean-Robert me dit « Faut que tu viennes voir les Cowboys, c’est important ». Je vais voir les Cowboys et en montant les marches, Jean-Robert me dit « Tu vas voir, c’est les prochains Beau Dommage ». C’était la première fois qu’en entendait ça hen ? (Rires) Puis effectivement, ce qui est fou, après le show je me rappelle très bien avoir dit « J’ai hâte de voir jusqu’où ça va aller cette affaire-là ! », mais il faut se rappeler quand même qu’à l’époque, les Cowboys c’était un groupe de partys hen. C’était que ça ou à peu près. Et même de blagues ! »

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Guy A. : « Ils ont vendu plus d’un million d’albums. Qu’est-ce qui explique qu’ils sont devenus un aussi grand phénomène de société ? Je dirais, en marge des grands médias. Ils ont tout le temps refusé de faire des entrevues. On les a invités ici, ils ont dit non, mais au moins ils ont dit non à tout le monde ! (Rires) » 


Laurent
 : « Je pense que c’est un vrai succès populaire. Pis ce n’est pas personne d’autre que les fans qui ont fait ce band-là. Et ça, je pense que Karl, et tout le reste du groupe d’ailleurs, a toujours respecté aussi tout le long de leur carrière. Toujours penser aux fans d’abord et avant tout. Pis, je suis désolé Guy, mais je dois le dire quand, mais vous aviez bien plus besoin des Cowboys que les Cowboys avaient besoin de vous autres. » 

François-Étienne : « Les Cowboys, c’est aussi un mélange complètement fou qui fait la recette parfaite. Jean-François Pauzé écrit des textes magnifiques, et Karl a le charisme pour chanter des textes plus vrais que nature. Puis Marie-Annick embarque par-dessus tout ça tsé ! Elle était la discipline dans le groupe Marie aussi. » 

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Puis, MC Gilles demande ceci à Mara Tremblay : « Mara, tu étais avec tout les grands toi. Je veux dire, tu as travaillé avec Dédé Fortin, les Frères à ch'val, tu travaillais avec eux pis tout ça. Pour toi, tu les mets à quel niveau ? » 

Mara
 : « Au début, c’était des clowns ! Je me souviens quand j’étais avec les Frères à ch'val, je me disais « Mais c’est quoi ça ? C’est comme une parodie de nous finalement ? » Une fille à la mandoline, au violon… le même genre de nom en plus ! Mais non, c’est comme devenu immense ! Pis, ç’a commencé, ils se déguisaient comme tu disais. Avec Toune d’automne, Karl a développé une espère de voix tellement touchante. Et il est devenu un de nos plus grands chanteurs. C’était un chanteur immense. À la fin, il venait me voir pis il me disait « J’ai mal aux cordes vocales », car les traitements l’atteignaient beaucoup et il se sentait diminué, mais pas par rapport à lui-même. Par rapport au fait qu’il ne pouvait pas donner aux fans et au public ce qu’il voulait. Mais ça ne paraissait pas pantoute ! Il n’y a personne qui s’est rendu compte qu’il avait des problèmes de voix. » 

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Après avoir visionné des images de leur spectacle magistral au Festival d’été de Québec en juillet dernier, Guy A. continue en disant ceci : « Il faut rappeler que ce show-là avait été annulé la veille à cause de la pluie, et le festival a décidé de le reporter d’une journée pour montrer une des dernières prestations. Ça t’émeut de voir ça Mara ? »

Mara verse quelques larmes et c’est finalement François-Étienne qui prend la parole en mentionnant : « Pis Karl, il voulait le faire le show. Pis tsé… il a fallu qu’il soit suivi par un médecin et de convaincre le médecin d’y aller. Il ne le disait pas et il ne se plaignait pas. Il était malade pis sans un petit boost, il n’aurait pas pu être là. » 

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MC Gilles : « En résumé, ce que vous me dites, c’est qu’il a mis sa santé en danger même à la fin pour ses fans ? » 

Mara
 : « Il a tout donné ! Mais pas juste pour ses fans, je pense que pour ses filles aussi. Il est comme resté tellement fort et droit. Il a une leçon de vie à recevoir de cet être-là qui est immense. Moi il m’a appris à vivre carrément. Mon chum m’a dit ça, pis c’est vrai. Je pense que le Québec au complet, la francophonie au complet va moins se plaindre. Il a quelque chose de tellement fort dans le message… juste ce qu’on vient de voir juste dans ces images-là de cet homme si fort, qui a tout donné, et le groupe qui l’a soutenu jusqu’à la fin. Tantôt, tu me demandais c’est quoi qui est si fort. Moi, je pense que c’est l’amitié. Ce sont de vrais amis. J’ai passé une semaine aux Iles-de-la-Madelaine cet été avec eux pis Jean-François était là. Pis l’amitié qui a entre ces personnes-là, elle est vraie depuis 27 ans et plus. Et c’est ça qui est touchant finalement. » 

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Guy A. : « Laurent, est-ce que ce moment-là qu’on a vu au Festival d’été de Québec, ça va devenir aussi marquant que Une fois cinq ou les shows sur la montagne ou ...? » 

Laurent
 : « Ce qui est phénoménal de cette soirée-là, c’est que contrairement à d’autres spectacles, entre guillemets historiques, c’est que ce n’est pas un collectif. C’est les Cowboys Fringants, point à la ligne. Bien sûr, il y avait les premières parties. Il y avait Sara Dufour et il avait tout ça. Mais ce n’est pas un collectif où il y a plein d’artistes. C’est les Cowboys Fringants et tsé quand je disais tantôt que les fans étaient au rendez-vous, ces images-là c’est extraordinaire tout ça ! Est-ce qu’il y avait vraiment 90 000 personnes ? Est-ce que c’est le plus gros show avec un groupe au Québec ? Oui, peut-être. Mais au-delà du nombre, il y a une émotion qui est incroyable… qui est incroyable ! » 

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Guy A. continue en présentant la dernière vidéo de Karl Tremblay qui s’adresse à ses fans suite au 45e Gala de l’ADISQ. 

Mara : « Les gens voient ça pis ils disent « Ben pourquoi il n’était pas là ? »… tsé tout le monde qui regarde ça, il a tellement l’air forme (…) il est souriant et il est plein de soleil. »

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MC Gilles
 : « Mais il trichait là ? C’est-à-dire qu’il sortait de chez lui et il faisait semblant qu’il n’avait pas mal. »

François-Étienne : « Non. Je pense qu’il voulait rassurer les gens et je pense qu’il y croyait encore. Pis, oui il était magané, on le sait et on l’a vu dans les dernières semaines. Mais il y avait toujours de l’espoir quelque part. Puis, même si lui il le savait que c’est ça qui allait le tuer, ben il s’accrochait pis je pense qu’il voulait que les gens s’accrochent avec lui. Pis, le public, on l’a dit, c’est ça qui a nourri les Cowboys pis lui, il leur devait quelque chose, peut-être ? » 

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MC Gilles : « Je sais pas si vous allez être d’accord avec moi, mais il y a quelque chose de particulier. Je pense qu’il aimerait ça voir le moment qu’on vit. Il y a une unanimité. Pas juste au Québec, mais dans la francophonie. C’est-à-dire que tsé avec la pandémie, avec ce qu’on vit, avec en ce moment… on se déchire… et là, je trouve qu’il y a une unanimité. C’est une nouvelle infiniment triste. Il est plus jeune que moi et il ne méritait pas de mourir. Mais comprenez-vous ce que je veux dire ? C’est comme si on s’était tous retrouvés pis on s’était dit qu’on est ensemble dans cette peine-là. » 

Laurent
 : « Le côté rassembleur que tu veux dire surtout, je pense. Ce côté rassembleur là, effectivement, il l’avait beaucoup. Mais déjà quand il était vivant tsé… regarde le nombre de personnes et le nombre de spectateurs qu’ils attiraient ! Tsé, je suis désolé, mais un groupe qui pouvait faire des Centre Bell quand il voulait ou à peu près, ne peut pas parler à une génération ou à un type de public. Il faut qu’il parle à tout le monde. Et francophone en plus ! »

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Guy A. : « Parce qu’ils étaient populaires en France. Ils remplissaient l’Olympia, le Zénith (…) et ce qui était fou, c’est que quand ils étaient en France, c’est qu’ils ne changeaient absolument pas leur façon de s’exprimer. Ils ne changeaient pas les paroles et tous les Français qui assistaient au spectacle connaissaient les paroles par cœur ! »  

François-Étienne : « Mais c’est ce que Karl aimait le plus ! Il disait souvent dans la chambre de hockey que son fun en France, c’était de faire chanter le public ! » 

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Guy A. : « Qu’est-ce que tu as devant toi ? Tout le monde se pose la question ! C’est quoi ça ? » 

François-Étienne : « C’est un disque ! Karl c’était sa nouvelle passion. Au début de la pandémie, dans la ligue de poker, il se met à nous parler de disque-golf. Tu lances dans un panier avec des chaînes. Il a cassé les oreilles à tout le monde ! Son fun, c’était d’initier les gens au disque-golf ! Pis un certain moment, on va jouer et il gardait la liste des gens qu’il avait initiés. Pis à un moment donné, on joue pis il me dit « Check ça Corbin, 137 initiés au disque golf ! »… 90 000 personnes sur les plaines, non non non, 137 initiés au disque-golf, ça, c’était important par exemple ! (Rires) » 

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MC Gilles : « Mais c’est-tu vrai que dans la chambre de hockey, c’est là qu’il était le plus heureux ? Que genre jouer au poker ? Tsé, il pouvait être devant 90 000 personnes, et il te recevait à souper, il pouvait trouver ça aussi le fun sinon plus ? » 

Mara : « Il était tellement heureux de nous voir ! Catherine Durand et moi, on est allé les voir avec une lasagne justement il y a trois semaines et il n’en revenait pas. Il était là « Voyons donc les amies qui viennent me voir un mercredi soir avec une lasagne ! » il était comme… ça, ça l’émerveillait au boute ! » 


MC Gilles : « Il n’était pas conscient de ce qu’il était ? »

Mara : « Mais comme il dit, c’était quelqu’un qui n’a jamais été au-dessus des autres. » 

François-Étienne : « Oui, mais, est-ce qu’on était conscient de ce qu’il était ? Parce que là, on réalise un paquet de trucs, mais un monument, ça se bâtit une pierre à la fois, pis on ne s’est pas rendu compte qu’il était en train de bâtir un monument. » 

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François-Étienne : « Cette semaine, je parlais avec des amis pis ensuite avec un des techniciens de Karl parce qu’on avait besoin de décompresser pis de se changer les idées. J’ai dit au bon vieux Tititancred « Toi, tu le connais depuis plus longtemps encore… moi, je ne connais pas de défaut à Karl. Peux-tu en nommer un ? On n’était pas capable de trouver un défaut. »

Mara
 : « Il n’a jamais glissé. Il a toujours été fidèle à sa blonde. Super bon père ! Il aurait pu là… tsé, c’est le gars le plus populaire de la francophonie. Il aurait pu glisser à gauche, à droite en 27 ans là. C’est l’être le plus pur que j’ai connu de toute ma vie. » 

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Guy A. : « En terminant, les Cowboys avaient amorcé, dans les derniers mois, la préparation d’un nouvel album qui devrait paraître bientôt. L’enregistrement des voix de Karl a pu se faire notamment dans sa résidence, sur son divan. Je vous pose la question à vous trois en terminant : est-ce que le groupe va pouvoir survivre au décès de son cowboy en chef ? » 

Laurent : « Je n’en ai aucune idée ! Je ne sais pas ! On sait tous que Jean-François Pauzé, c’est un auteur-compositeur extraordinaire. Pis qu’il n’arrête pas lui, probablement, de composer des chansons, même si sa muse n’est plus là. »


Mara : « Moi, je suis convaincue que Marie-Annick a encore plein de chansons et de musique. Parce qu’elle en fait depuis le début et je suis convaincue qu’elle va continuer. »

François-Étienne : « Mais on entendra jamais l’album que Karl rêvait de produire, son projet solo qu’il voulait appeler « Loisir ». Des chansons qu’il a sur le hockey, le poker et le disque-golf. Adib Alkhalidey lui se promettait un duo et il voulait convaincre Daniel Bélanger de chanter en trio ! » 

Guy A. : « Daniel aurait probablement dit oui ! » 

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Quelle superbe entrevue ! Félicitations à Mara, Franécois-Étienne et Laurent ! 

Repose en paix mon cher Karl. 

Vous pouvez réécouter l'entrevue en cliquant ICI

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Source: Monde de Stars