
Il a pris l’une des décisions les plus impulsives et mémorables de sa vie
Quand Normand Brathwaite raconte les débuts de sa relation avec Marie-Claude Tétreault, on comprend vite que rien n’a été simple… mais que tout a été profondément sincère, spontané et teinté de l’humour qui le définit.
Ensemble depuis plus de 30 ans, ils forment aujourd’hui un couple solide, uni et attachant. Ils ont un fils, Édouard, et Normand est également le père d’Élizabeth Blouin-Brathwaite, née de sa relation antérieure avec la chanteuse Johanne Blouin.
Sa vie amoureuse s’est construite à travers ces deux grandes histoires, qui ont façonné la famille qu’il chérit aujourd’hui.
Mais avant que tout devienne stable, doux et durable… il y a eu le début.
Et quel début.
Normand replonge dans cette époque où il sortait d’une rupture très médiatisée. Les journaux s’emballaient, les chroniqueurs spéculaient, et chaque mouvement devenait une “affaire”. Il décrit cette période comme un moment où il se sentait à l’envers, encore fragile, mais déjà complètement épris de Marie-Claude, avec qui il sortait depuis à peine dix jours.
Dix jours.
Pas dix semaines.
Pas dix mois.
Dix.
Jours.
Un matin, il tombe sur un collage photo dans un magazine : on avait superposé, sans aucun talent, la tête de Marie-Claude sur le corps de son ex, Johanne. Le résultat était tellement absurde qu’il en rit encore aujourd’hui, mais à l’époque, ça a frappé quelque chose en lui.

Il en avait assez que les médias prennent le contrôle du récit de sa vie privée. Il voulait clarifier les choses, affirmer leur relation, mais surtout protéger Marie-Claude de toute cette frénésie.
Après une séance photo en couple qui devait mettre les pendules à l’heure, mais qui n’a fait que nourrir les ragots, ils reviennent de voyage et découvrent un titre encore pire : une manchette qui présentait Marie-Claude comme “celle qui remplacerait Johanne”. Normand avoue avoir été découragé en voyant ça, presque honteux de ce qu’on leur faisait vivre.

C’est là qu’il a eu une réflexion simple et honnête :
« Je pourrais vraiment être le bon gars pour elle. »
Et juste après cette belle pensée…
Il a pris l’une des décisions les plus impulsives et mémorables de sa vie.
Normand a contacté le clan Panneton, les pros du déménagement express au Québec. Il leur a demandé de se rendre chez Marie-Claude, de tout emballer, de vider l’appartement… pendant qu’elle prenait calmement son déjeuner, sans se douter de rien.
Ils ont tout ramassé : les vêtements, les souvenirs, les boîtes, toute la vie de Marie-Claude. Les déménageurs ont ensuite transporté l’ensemble chez Normand comme si c’était la chose la plus naturelle du monde.

Quand France Beaudoin lui demande si elle était au courant, il éclate de rire.
Non.
Pas du tout.
Elle n’avait aucune idée de ce qui se tramait.
Lorsqu’elle est arrivée chez lui et qu’elle a vu toutes ses affaires déjà installées, c’était un saut dans le vide. Elle devait décider, sur-le-champ, si elle embarquait dans cette histoire folle… ou si elle reculait.
Normand, lui, s’était dit " Soit qu'elle dit oui, soit qu'elle dit non."
Heureusement, Marie-Claude a choisi le “oui”. Un oui qui a traversé les décennies.
Dans Pour emporter, Normand raconte tout ça avec un mélange irrésistible d’auto-dérision, de lucidité et d’affection. Il revisite ce chapitre de sa vie sans filtre, avec une tendresse évidente pour la femme qui partage encore aujourd’hui son quotidien.
On découvre un homme authentique, attachant, parfois maladroit, mais profondément amoureux, un Normand Brathwaite comme on l’aime.
Et surtout : un Normand qui n’a jamais hésité à faire des boîtes… même beaucoup trop vite.
Normand Brathwaite se confie et nous fait éclater de rire ce vendredi à 20 h sur ICI ARTV dans Pour emporter avec France Beaudoin.
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