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L'auteur de District 31 réplique aux offusqués

Il n'y va pas avec le dos de la cuillère...

Monde de Stars

Ça a brassé fort dans les dernières semaines dans la série District 31...

Ça a brassé fort pour les personnages fictifs, mais aussi pour son auteur Luc Dionne, qui a eu à composer avec de sévères critiques de différents organismes et militants.

La semaine dernière, c'était un organisme de lutte contre le sida qui s'en prenait à son oeuvre et plus tôt, l'automne dernier, des critiques l'avaient accusé de perpétuer des stéréotypes en dépeignant un crime d’honneur contre une jeune fille lesbienne et musulmane.

Et bien rassurez-vous, fans de la série, l'auteur ne semble pas du tout vouloir se censurer dans le futur.

Dans une entrevue accordée au Journal de Montréal, Luc Dionne y a été d'un commentaire qui en dit long de ce qu'il pense réellement des personnes qui s'offusquent de ses oeuvres de fiction.

« Je connais ces gens. Je sais ce qu’ils veulent », explique l'auteur. « Il y a toujours quelqu’un qui a quelque chose à nous reprocher. De temps en temps, certains réussissent à s’exprimer à travers les médias... Je vois ça comme du bruit ambiant, il ne faut pas s’y attarder. »

Ouch! Voilà qui devrait faire friser les oreilles de quelques perpétuels offusqués. Des propos qui ne sont pas sans rappeler ceux de Louis Morissette il y a quelques années, qui avait qualifié de "moustiques" les militants de la rectitude politique au petit et au grand écran.

Dans le cas précis de ceux qui lui ont reproché de propager de fausses informations à propos des personnes atteintes du VIH, Luc Dionne s'est défendu de façon assez pointue, comme l'indique ce passage de son entrevue dans le Journal de Montréal.

« Ce qu’on nous a reproché n’avait rien à voir avec ce qu’il y avait dans l’épisode. Ils sortaient des répliques du contexte. Ça frisait la malhonnêteté intellectuelle », indique le principal intéressé, mentionnant au passage, pour prouver son point, un article du Journal de Montréal à propos d’un sexagénaire de Longueuil ayant écopé, plus tôt cette semaine, de sept ans de détention pour avoir eu des relations sexuelles non protégées avec trois femmes, sans leur mentionner qu’il était atteint du VIH. -Passage de l'article du Journal de Montréal, entrevue avec Luc Dionne

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