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Hugo Dumas adresse une importante critique à STAT et Indéfendable et les téléspectateurs sont d'accord avec lui
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Hugo Dumas adresse une importante critique à STAT et Indéfendable et les téléspectateurs sont d'accord avec lui

Plusieurs personnes ont remarqué et ne semblent pas du tout apprécier !

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Alors que plusieurs acteurs jouent à la fois dans STAT et Indéfendable, au grand désespoir de plusieurs téléspectateurs, Hugo Dumas explique dans sa plus récente chronique publiée dans La Presse pourquoi cette réalité est présente dans le paysage télévisuel québécois. 

C'est notamment le cas de la comédienne Émilie Lajoie. On la voie camper dans STAT le rôle d'une patiente souffrant d'un grave cancer au cerveau qui délaisse la médecine traditionnelle pour des rites de sudation. Du côté de TVA, dans Indéfendable, elle se glisse plutôt dans la peau de l'épouse d'un criminel qu'elle cocufiait avec un avocat mort dans d'étranges circonstances. 

Émilie Lajoie n'est pas la seule comédienne à tourner dans les deux séries. C'est aussi le cas de Xavier Huard, qui joue un homme blessé au torse et sous l'effet de la cocaïne qui a entré à l'hôpital Saint-Vincent. Dans Indéfendable, le même comédien interprète un homme qui assassine son père, pour mener une relation incestueuse avec sa mère.

Hugo Dumas adresse une importante critique à STAT et Indéfendable et les téléspectateurs sont d'accord avec lui
Photo : Capture d'écran - Facebook - TVA - Indéfendable

« Ces doublons au sein des deux séries les plus populaires du petit écran irritent et sèment une certaine confusion chez les téléspectateurs », résume Hugo Dumas. Mais les producteurs des émissions ne seraient pas non plus friands de doublons. 

« On ne veut pas ça, on ne cherche pas ça », explique Fabienne Larouche, coproductrice de STAT, en entrevue avec Hugo Dumas.

Le producteur d'Indéfendable, Charles Lafortune, abonde en ce sens. « À 120 épisodes par année, donc 240 épisodes en compilant les deux séries, ça se peut qu’on pige dans le même bottin de l’Union des artistes. Le rythme est rapide, on n’a pas nécessairement le temps de tout vérifier », dit-il à La Presse.

« C’est difficile comme situation. Très souvent, on le découvre, nous aussi, en visionnant les séries. Mais on ne peut pas non plus demander des contrats d’exclusivité aux acteurs, qui ne travaillent déjà pas assez. Le bassin n’est pas assez grand pour qu’on se prive de certains comédiens », justifie la directrice de casting Mélanie Ranger à La Presse. 

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Source: La Presse