
Tout le Québec avait une larme à l'oeil
L’émission En direct de l’univers a offert samedi soir un moment de pure émotion, comme seule France Beaudoin et son équipe savent en créer.
Cette fois, c’est Farah Alibay, ingénieure en aérospatiale et fierté québécoise, qui a eu droit à une soirée exceptionnelle à son image : inspirante, humaine et profondément émotive.
Connue pour son parcours impressionnant à la NASA, où elle a participé à des missions majeures sur Mars, Farah a montré un tout autre visage sur le plateau : celui d’une femme sensible, touchée par l’amour et la reconnaissance qu’on lui témoignait.
Dès les premières minutes de l’émission, on sentait une atmosphère particulière, comme si tout le plateau vibrait au rythme d’une admiration sincère pour cette invitée d’exception.
Au fil de la soirée, la jeune femme a été surprise par une série de prestations soigneusement choisies pour illustrer les moments forts de sa vie et les émotions qui la façonnent. Bruno Pelletier a livré une interprétation bouleversante de « Unchained Melody », qui a fait frissonner la salle, tandis que LIGHTS, l’artiste canadienne anglophone adorée de Farah, est venue ajouter une touche électro-poétique à cette célébration.
Le groupe La Chicane, quant à lui, a ramené une note plus terre-à-terre, évoquant les racines québécoises et la nostalgie de la maison.
Mais c’est sans contredit le moment où sa mère est apparue sur scène qui a volé la vedette à tous les autres. Cette dernière a rejoint Richard Séguin pour interpréter « Ici comme ailleurs », une chanson porteuse de sens pour Farah, qui partage sa vie entre le Québec et les étoiles.

Dès les premières notes, l’émotion a submergé l’ingénieure : les yeux embués, elle a tenté de retenir ses larmes, mais le lien entre mère et fille était trop fort.

Le public, lui aussi, a été ému de voir cette relation sincère, empreinte d’amour et de fierté. Ce moment, à la fois intime et universel, restera sans doute gravé dans la mémoire des téléspectateurs.
Et comme si cela ne suffisait pas, Marina Orsini a offert une interprétation grandiose de « La Bohème » de Charles Aznavour, invitant le public à chanter avec elle. Ce moment collectif, rempli de chaleur et de complicité, a rappelé tout l’esprit de l’émission : la musique comme vecteur de lien et d’émotion.
À travers cette soirée, Farah Alibay a prouvé qu’au-delà de ses accomplissements scientifiques impressionnants, elle demeure une femme de cœur, profondément ancrée dans ses valeurs et dans son histoire. Sa vulnérabilité, sa joie et ses larmes sincères ont touché le Québec tout entier.
Encore une fois, France Beaudoin et son équipe ont frappé fort en livrant une émission magnifiquement orchestrée, où chaque surprise semblait taillée sur mesure pour révéler la personnalité lumineuse de leur invitée.
Entre rires, musique et émotions à fleur de peau, cette soirée dédiée à Farah Alibay restera parmi les plus mémorables de la saison, un hommage à une Québécoise d’exception qui, même la tête dans les étoiles, garde les deux pieds bien sur terre.
Recevez les dernières nouvelles directement dans votre boîte de réception.