Cette intrigue qui fait énormément jaser dans STAT est tirée d'une histoire vraie !

La série STAT connaît un succès phénoménal auprès des téléspectateurs, qui l’apprécient pour ses intrigues captivantes, ses personnages attachants et sa représentation du milieu médical. Créée par l’autrice Marie-Andrée Labbé, l’émission a su maintenir un haut niveau de suspense et d’émotions tout au long de sa diffusion. Récemment, la finale de mi-saison a tenu les fans en haleine avec un dénouement chargé d’intensité et de rebondissements inattendus.

Ce moment marquant, à la fois dramatique et profondément humain, témoigne du talent de l’équipe créative à livrer des récits qui touchent le cœur des Québécois et les laissent impatients de découvrir la suite.

De nombreux téléspectateurs se disent préoccupés par le sort de Philippe, gravement blessé après avoir été poignardé au cou par Steve, alors en pleine crise psychotique. Le congédiement de Pascal St-Cyr, directeur des services professionnels, a également suscité de vives réactions parmi les fans de la série.

En résumé, l’attente est palpable : tout le monde a hâte que STAT reprenne après les fêtes!

La finale de mi-saison a également mis en lumière la patiente Anne-Marie Bernard, dont l’arrivée à l’urgence a provoqué une série d’évanouissements mystérieux parmi le personnel de Saint-Vincent.

Bien qu’Emmanuelle et Jacob ne soient pas encore parvenus à résoudre cette énigme médicale, un indice intéressant est à noter : l’intrigue s’inspire d’un fait vécu, ce qui ajoute une couche d’authenticité à cette histoire captivante.

Effectivement, il s'agit d'une histoire vraie, celle de Gloria Ramirez (née le 11 janvier 1963, morte le 19 février 1994), qui était une habitante d'origine mexicaine de Riverside en Californie ; elle fut surnommée « la femme toxique » par les médias, après que plusieurs travailleurs de l'hôpital de Riverside sont tombés malades en raison de leur exposition à son corps et son sang. 

Gloria s'était rendue à l'urgence d'un hôpital à Riverside, en Californie, pour des symptômes liés à un cancer du col de l'utérus. Les médecins présents avaient noté une apparence huileuse sur sa peau ainsi qu'une odeur inhabituelle, rappelant celle de l'ail.

Lorsqu'une infirmière a prélevé un échantillon de son sang, elle s'est évanouie sur-le-champ. Trois infirmières se sont évanouies au total.

En fin de compte, Gloria Ramirez est décédée des suites d'une insuffisance rénale causée par son cancer.

Est-ce que c'est ce qui attend Anne-Marie ?

Nous le saurons au retour de STAT le 6 janvier !