Ça va brasser dans Doute raisonnable
Voici quelques rebondissements qui nous attendent
Monde de Stars
Ça va brasser dans la suite de Doute raisonnable. Le magazine 7 Jours rapporte quelques intrigues et rebondissements pour la suite des choses.
Tout d'abord, l'enquête du GICCS sur l'agression en milieu de travail risque de semer plusieurs questions dans la tête des téléspectateurs. En plus, Rémy Deblois va se rendre compte qu'Alice n'a pas été honnête avec lui depuis le début.
Une nouvelle affaire prendra d'ailleurs beaucoup de temps pour Alice, Fred et Charline. « Il s’agit d’une agression sexuelle, mais ce qui est différent des enquêtes précédentes, c’est qu’elle a eu lieu dans un milieu de travail, une maison de transition pour prisonniers. Contrairement à ce qu’on pourrait penser, ce n’est pas un pensionnaire qui a commis l’agression, mais un employé. Les ex-détenus sont les témoins », résume l’auteur de la série, Pierre-Marc Drouin, en entrevue au magazine 7 Jours.
Une travailleuse sociale, Geneviève Pilon, a décidé de porter plainte au GICCS contre son nouveau patron, Marc-André Dallaire.
« L’agression aurait eu lieu dans le bureau de cet homme. Selon la version de Geneviève Pilon, il aurait fait toutes sortes de sous-entendus bizarres avant d'essayer de l'embrasser et de mettre sa main dans sa culotte. L'histoire semble simple, mais elle a des ramifications insoupçonnées. On ne voit que la pointe d'un gros iceberg... Je dois mentionner que les acteurs Evelyne de la Chenelière, qui joue Geneviève Pilon, et Pierre-Luc Brillant, qui incarne Marc-André Dallaire, sont excellents », ajoute M. Drouin.
D'ailleurs, Alice, Fred et Charline vont réaliser que l'enquête part dans plusieurs pistes différentes, qui ne semblent pas être liées entre elles. L'ancienne directrice de la maison de transition, Ariane Drouin, avait d'ailleurs démissionné avant l'agression. Alice va essayer de comprendre comment cette démission pourrait être reliée à l'enquête.
« Parmi les témoins, personne ne croit que Marc-André Dallaire ait pu commettre une agression, mais personne ne peut envisager que Geneviève ait inventé une telle chose. C’est assurément une enquête difficile pour le GICCS », ajoute M. Drouin.