Un séjour à l’hôtel tourne à l’horreur : le chien de Tori Spelling trouve un orteil humain

Tori Spelling a raconté une anecdote pour le moins troublante et franchement digne d’un film d’horreur, dans un récent épisode de son balado MisSpelling.

L’actrice, connue pour son rôle emblématique dans Beverly Hills, 90210, a partagé avec ses auditeurs une histoire qu’elle n’oubliera jamais… et qui commence pourtant dans un décor plutôt idyllique : un hôtel de luxe à Toronto, où elle séjournait à l’époque avec son ex-mari Dean McDermott et leur chien Musso.

Le couple avait décidé de profiter de deux jours de congé entre deux journées de tournage pour s’offrir un moment de répit dans un hôtel victorien réputé de la ville. Service aux chambres, film au lit, ambiance cosy, tout semblait parfait. Jusqu’à ce que Musso, leur chien, attire leur attention.

Alors qu’ils étaient installés confortablement, Tori et Dean ont remarqué que Musso mâchait quelque chose au pied du lit. Pensant d’abord qu’il avait mis la patte sur un reste de nourriture ou un os, ils ne se sont pas immédiatement inquiétés.

Mais en s’approchant pour vérifier, Tori a découvert l’impensable : son chien était en train de mâchonner… un pouce humain sectionné.

Selon elle, le morceau était encore frais, peu décomposé, et semblait avoir été tranché avec précision. Le lit de l’ongle était intact, ce qui ne laissait aucun doute quant à la nature de l’objet. « C’était clairement un gros orteil masculin », a-t-elle précisé avec un mélange d’effroi et de fascination.

Plutôt que de paniquer, le couple a enveloppé l’orteil dans une serviette de table et l’a apporté à la réception de l’hôtel. Leur réaction? Un calme déconcertant. Aucun appel à la police, aucune alerte. On leur a simplement offert un crédit pour un prochain séjour, ce que Tori a immédiatement rejeté : « Y retourner? Jamais de la vie! »

Avec le recul, l’actrice admet avoir un regret : ne pas avoir conservé l’orteil comme preuve pour le remettre aux autorités. « J’ai toujours rêvé de résoudre un meurtre. C’était peut-être ma chance », a-t-elle confié, encore étonnée de ne pas avoir mis ce macabre indice dans un sac Ziploc pour l’amener au poste de police.

Bien que la situation soit à glacer le sang, Tori Spelling a su la raconter avec le ton qu’on lui connaît : un mélange d’humour noir, de spontanéité et d’absurde.

Une chose est sûre : cette escapade canadienne ne figure sans doute pas parmi ses plus beaux souvenirs… mais elle restera assurément l’un des plus marquants.