
Elle a aussi partagé une adorable photo
Maripier Morin a vécu une journée particulièrement chargée en émotions en soulignant l’anniversaire de naissance de son frère Raphaël, disparu beaucoup trop tôt.
Le 14 décembre, l’animatrice a choisi de s’exprimer avec une grande pudeur sur ses réseaux sociaux, partageant un souvenir empreint de douceur aux côtés de celui qui occupera toujours une place immense dans son cœur.
Pour marquer cette date significative, elle a publié une photo pleine de tendresse et de complicité, accompagnée de quelques mots simples, mais profondément bouleversants. Elle y évoque l’absence immense laissée par Raphaël, ce vide impossible à combler qui se fait sentir à chaque instant. On y ressent l’amour indéfectible d’une sœur, mais aussi la douleur silencieuse qui accompagne le deuil, surtout lorsque celui-ci survient de façon aussi brutale.

La disparition de Raphaël, décédé à l’été 2024 à l’âge de 33 ans, a profondément transformé Maripier Morin. Depuis, elle a choisi de transformer sa peine en engagement.
Ce n’est donc pas un hasard si elle s’est récemment associée à la Fondation Douglas, un organisme voué à la recherche en santé mentale. À travers cette collaboration, elle souhaite non seulement honorer la mémoire de son frère, mais aussi contribuer concrètement à faire avancer les choses.
Dans un message partagé dans le cadre de cette campagne, Maripier a parlé ouvertement de la réalité des maladies mentales, une souffrance qu’elle connaît désormais de très près.
Elle y rappelle que ces enjeux peuvent bouleverser des vies entières et laisser des cicatrices profondes, mais elle insiste surtout sur l’espoir. Pour elle, la recherche représente une voie essentielle pour mieux comprendre, mieux prévenir et, un jour, éviter que d’autres familles vivent une tragédie semblable. Elle lance ainsi un appel à la solidarité, convaincue que collectivement, il est possible de bâtir un avenir où la souffrance psychologique est mieux prise en charge.
J’ai perdu mon petit frère Raphaël à cause de la maladie mentale. Il est mort par suicide l’an dernier, à seulement 33 ans.
La douleur causée par les maladies mentales, je la connais bien. Elle bouleverse des vies, laisse des marques. Mais moi, je rêve d’un monde sans cette souffrance. Cet espoir, c’est la recherche qui le bâtit, un bloc à la fois.
Si je me joins au Douglas et que je sollicite votre aide, c’est parce que je suis convaincue qu’ensemble, nous pouvons réaliser mon rêve et contribuer à bâtir un monde sans suicide.
– Maripier Morin
Ce témoignage, à la fois intime et engagé, a touché de nombreuses personnes. Il rappelle l’importance de parler de santé mentale sans tabou et de tendre la main, autant à ceux qui souffrent qu’à leurs proches.
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