Un candidat à la mairie au Québec dévoile son étonnant rituel de fin de soirée

Yves Lévesque, ancien maire de Trois-Rivières, a provoqué tout un éclat de rire et un peu d’incrédulité après avoir révélé son incroyable rituel de fin de soirée sur les ondes de Cogéco à Trois-Rivières.

Dans un moment de franchise désarmante, le politicien de 67 ans s’est confié sur ses habitudes alimentaires d’antan, particulièrement sur son amour démesuré pour la crème glacée… et pas n’importe laquelle.

Quand on lui a demandé ce qu’on trouverait toujours dans son réfrigérateur, la réponse a fusé sans hésitation : « Des Haagen-Dazs! » s’est-il exclamé avec enthousiasme.

Il explique en riant que son congélateur débordait littéralement de ces petits pots de crème glacée haut de gamme. « Mon congélateur à moi, tu rouvres la porte, les Haagen-Dazs tombent! » a-t-il raconté, ajoutant qu’il en possédait déjà plus de 140 à la fois. De quoi tenir une armée entière en sucre pendant un mois!

Mais le plus étonnant, c’est la quantité qu’il consommait chaque soir. Yves Lévesque avoue sans gêne qu’il pouvait avaler jusqu’à neuf pots à la suite, et ce, tous les soirs, sans exception. « Neuf par soir. À tous les soirs après mon souper », a-t-il insisté, provoquant la stupeur de l’animateur.

Il décrit la scène avec humour, disant qu’il les enchaînait « comme un castor », incapable de s’arrêter une fois la première bouchée commencée. Cette petite manie nocturne est devenue une véritable tradition pour lui, un moment de réconfort après une longue journée.

Et ce n’était que le début de son impressionnant festin du soir. Après avoir terminé ses neuf Haagen-Dazs, il poursuivait sa « tournée » en plongeant dans un sac de croustilles, accompagné d’un Coke Zéro, détail qui a fait sourire bien des auditeurs. Comme si le choix d’une boisson sans sucre pouvait compenser l’ouragan calorique qui précédait!

Et pour couronner le tout, il terminait sa soirée avec deux bols de céréales avant d’aller se coucher. Un mélange détonant, digne d’un adolescent en pleine croissance plutôt que d’un maire aguerri.

Écoutez la séquence juste ici :

À travers cette confession à la fois cocasse et déconcertante, Yves Lévesque a une fois de plus démontré son sens de l’autodérision et son naturel désarmant. Loin de vouloir se donner une image lisse, il assume pleinement ses excès passés, en riant de lui-même.

Il reconnaît d’ailleurs que cette routine n’avait « aucun bon sens », mais qu’elle faisait partie d’une époque où il menait une vie trépidante, jonglant entre les obligations municipales et la pression du quotidien.

Derrière le ton léger, on devine un personnage attachant, sincère et toujours prêt à rire de ses propres travers. Car s’il a souvent fait parler de lui pour ses prises de position politiques, Yves Lévesque prouve une fois de plus qu’il sait aussi faire sourire, même quand il s’agit d’une montagne de crème glacée.

Personne n’oubliera de sitôt l’image du « petit castor » devant son congélateur débordant de Haagen-Dazs.