Il admet que c’était un luxe un peu déraisonnable
Pierre-Yves McSween est aujourd’hui bien plus qu’un simple comptable : il est devenu une figure incontournable du paysage médiatique québécois. Grâce à sa capacité à vulgariser des sujets financiers complexes avec humour et intelligence, il a su transformer un domaine perçu comme aride en quelque chose de captivant pour le grand public.
Mais même un expert en finances peut parfois se laisser aller à des petits excès. Dans une entrevue accordée au magazine 7 Jours, Pierre-Yves s’est prêté au jeu du questionnaire « Les 7 péchés de… » et a accepté de révéler certains aspects plus personnels de sa vie.
À la question sur son plus grand coup de colère, il admet que ce qui le dérange le plus, ce sont les gens intransigeants, ceux qui s’emportent dans un commerce contre un employé sans connaître le contexte. Selon lui, ce genre de comportements gratuits est difficile à tolérer, surtout lorsqu’il se retrouve témoin de la scène sans pouvoir intervenir.
Concernant son achat le plus extravagant, il a avoué avoir dépensé beaucoup trop pour… des guitares! Même s’il reconnaît ne pas avoir le talent pour en jouer pleinement, il s’est laissé tenter par une guitare Taylor branchable achetée sur Internet. Elle était presque neuve, un bon deal à ses yeux, mais il admet que c’était tout de même un luxe un peu déraisonnable.
S’il devait animer une émission, Pierre-Yves avoue rêver de prendre les commandes des Enfants de la télé, qu’il considère comme un format optimal. Mais il a aussi une grande attirance pour les quiz, citant Que le meilleur gagne comme un concept qu’il aimerait animer. Un petit message lancé aux producteurs qui cherchent un animateur dynamique!
Sur le plan vestimentaire, il se distingue par sa constance. Pas question pour lui de suivre les modes tape-à-l’œil : en bon CPA, il préfère miser sur des vestons et des cravates classiques, qu’il réutilise même lors de galas. Pas de fashion faux pas à son actif, mais pas non plus de looks extravagants.
Côté gourmandise, il confie avoir développé une intolérance au gluten, ce qui complique ses sorties au restaurant. Heureusement, il a trouvé son bonheur à la rôtisserie La Lune, qui fait particulièrement attention à ces restrictions. Il y savoure enfin un bon poulet rôti accompagné de sauce brune et de frites, sans conséquences désagréables.
Lorsqu’il est question de se détendre, Pierre-Yves admet qu’il ne décroche jamais vraiment, tant il reste branché sur l’actualité économique. Toutefois, il s’accorde parfois une pause avec des séries, comme Pernille sur Netflix, qui raconte le parcours difficile d’une mère travaillant dans les services sociaux.
Enfin, lorsqu’on lui a demandé son premier coup de cœur de jeunesse, il a répondu sans détour : Julie Masse. À l’époque, il avait 11 ans et elle en avait 20, mais il la trouvait tout simplement magnifique.
Avec ses réponses franches et teintées d’humour, Pierre-Yves McSween prouve une fois de plus qu’il sait naviguer entre sérieux et légèreté, entre rigueur professionnelle et petites confidences personnelles qui le rendent encore plus attachant aux yeux du public.
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