Mathieu Baron n'en revient pas du prix qu'il a payé dans une restaurant déjeuner

De passage au balado Le temps d’une bouffe, Mathieu Baron n’a pas mâché ses mots quand est venu le temps de parler du coût de la vie.

Avec son humour habituel, il a partagé sa stupéfaction face au coût de la vie en général, mais c’est surtout son histoire au resto-déjeuner qui a marqué les esprits. Parti manger avec son petit garçon de 18 mois, l’acteur et animateur s’est retrouvé avec une facture salée : une petite omelette, un bol de fruits, deux smoothies et un café avec un soupçon de Baileys… pour un total de 103 $ avec le pourboire.

Mais bon il devait y avoir autre chose sur la facture, mais tout de même !

De quoi le laisser bouche bée. « Crime, deux smoothies ! », a-t-il lancé en riant jaune, soulignant à quel point les prix explosent dans les restos comme à l’épicerie.

" Mais le coût de la vie, ça n'a pas de bon sens. Je suis allé déjeuner avec mon gars. On s'entend, mon gars, il y a 18 mois. Mon gars, je lui fais faire une petite omelette, un bol de fruits. OK, j'ai laissé 20 %. "

L’échange avec l’animateur du podcast a d’ailleurs résumé le sentiment de plusieurs Québécois face à l’inflation. Derrière les blagues de Baron se cache une réalité qui touche tout le monde : les repas au restaurant deviennent de plus en plus un luxe, même lorsqu’il s’agit d’un simple déjeuner en famille.

Dans les commentaires en ligne, de nombreux internautes se sont reconnus dans son témoignage. Certains ont raconté avoir déboursé près de 80 $ pour un repas à deux dans un restaurant de type casse-croûte, d’autres disaient qu’un brunch en famille coûtait désormais plus cher qu’un souper au restaurant.

Beaucoup ont exprimé la même exaspération : la hausse du prix des aliments et des repas au resto pèse lourd sur le portefeuille, au point où plusieurs affirment réduire leurs sorties ou changer leurs habitudes de consommation.

En partageant son histoire, Mathieu Baron a mis en mots ce que bien des gens ressentent actuellement : un mélange de découragement et de colère face à une inflation qui transforme les petits plaisirs simples, comme aller déjeuner avec son enfant, en dépenses exorbitantes.