Magalie Lépine-Blondeau complètement resplendissante en maillot dans le lac

Magalie Lépine-Blondeau a eu un beau mois de juillet à en croire sa dernière publication Instagram. La comédienne a partagé une série de photos pour résumer le dernier mois et chacun des clichés fait plus rêver que le précédent.

Alors que Magalie Lépine-Blondeau enchaine les tournages ces dernières semaines, elle en a tout de même profité pour passer du temps entre amies et profiter de la chaleur pour se rendre au chalet. 

Dans une publication Instagram, la comédienne a partagé quelques clichés de son mois de juillet et elle semble s’être bien amusée. Si on pouvait résumer ça brièvement on dire : amies, pique-nique, baignade, jeux de société, et terrasse. 

Sur la première photo, Magalie Lépine-Blondeau prend la pause avec ses amies, la réalisatrice Monia Chokri et Patricia Lanoie. Dans les photos suivantes, elle capture quelques moments volés sur le vif lors de parties de jeux de société ou de moments en terrasse. Sur la troisième photo, Magalie Lépine-Blondeau est juste rayonnante en sortant du lac. 

« High on july »

Magalie Lépine-Blondeau est présentement en tournage pour la troisième saison de la (très bonne) série Fourchette diffusée sur le Tou.tv de Radio-Canada. Elle y retrouve son amie Sarah-Maude Beauchesne et son personnage de Juliette qu’elle interprète depuis le début.

La comédienne a également terminé de tourner la série « Sans rendez-vous » dans lequel elle a le premier rôle. Elle y joue une infirmière-sexologue qui travaille dans une clinique de santé sexuelle. Elle a d’ailleurs partagé quelques photos du tournage : 

« Faque c’est ça là. Merci. Beaucoup. »

Voici le synopsis de la série qui verra le jour très bientôt sur l’extra de Tou.tv :

« Sarah (Magalie Lépine-Blondeau) est une infirmière-sexologue dans la jeune trentaine qui revient à la clinique de santé sexuelle après un congé de trois mois. En pleine crise existentielle et se sentant prisonnière d’une relation malheureuse, Sarah retrouve ses collègues aussi dysfonctionnels et attachants les uns que les autres.

Les employés de la clinique sont, en quelque sorte, des superhéros du sexe capables de résoudre les problèmes du commun des mortels à ce niveau; mais ils sont aussi souvent des cordonniers mal chaussés, moins aptes à s’occuper de leurs propres enjeux et vies personnelles. Les patients de la clinique, parfois adorables, parfois lourds et parfois complètement bizarres, viennent nous rappeler qu’une ITSS ne fait pas de discrimination avant d’élire domicile. Riche ou pauvre, d’une culture ou d’une autre, beau ou laid, travailleuse du sexe ou célibataire involontaire, face à l’herpès, nous sommes tous égaux. »