L'influenceuse Vienna Würstel n'arrive plus à fermer ses lèvres et les internautes sont déstabilisés

Vienna Würstel, influenceuse transgenre installée à Majorque, en Espagne, s’est forgé une notoriété mondiale grâce à son apparence extrême et à son goût prononcé pour la chirurgie esthétique.

Depuis ses 18 ans, elle multiplie les interventions, allant des implants aux liftings, mais c’est surtout son obsession pour les lèvres surdimensionnées qui la distingue. En cinq ans, elle a investi près de 150 000 euros dans son apparence, dont plus de 42 000 uniquement pour les injections d’acide hyaluronique.

Pour entretenir ce look qu’elle considère comme l’incarnation même de la féminité et de la sensualité, Vienna se rend régulièrement en Allemagne afin de consulter son chirurgien préféré, parfois toutes les deux à quatre semaines.

Chaque déplacement lui coûte plus de 1 700 euros, un prix qu’elle juge dérisoire comparé à la satisfaction que lui procure son image.

Mais cette transformation permanente n’est pas sans conséquences. Ses lèvres, désormais si volumineuses qu’elle ne peut plus les fermer complètement, lui causent des difficultés à manger, à boire et même à respirer normalement.

Elle souffre de maux de gorge matinaux et doit utiliser un bain de bouche médical pour préserver la santé de ses gencives. Malgré ces problèmes, elle ne compte pas ralentir et prévoit déjà de nouvelles interventions, dont une rhinoplastie et un lifting des paupières.

Très présente sur les réseaux sociaux, Vienna est régulièrement la cible de moqueries et de critiques virulentes, certains allant jusqu’à la comparer à un canard ou à remettre en question la responsabilité de son chirurgien.

Elle, au contraire, affirme que ces attaques sont motivées par la jalousie et n’ont aucun effet sur sa détermination. Soutenue par ses proches et son partenaire, elle se dit fière d’être fidèle à sa vision d’elle-même, même si cela choque.

Pour Vienna, chaque injection est une déclaration : celle de vivre selon ses propres standards esthétiques, peu importe le regard des autres. Son objectif est clair : pousser son image à l’extrême et marquer l’histoire… à coups de bistouri et de seringues.