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La semaine dernière, Joël Legendre posait fièrement avec ses deux jumelles, Anaïs et Marion, en couverture du magazine 7 Jours. Alors que l’animateur faisait tranquillement son épicerie avec Marion, la petite fille s’est vue sur l’un des kiosques aux abords de la caisse. Sa réaction est tellement adorable.
Le magazine 7 Jours a offert sa couverture à la belle famille de Joël Legendre jeudi dernier. Il en a ainsi profité pour présenter Anaïs et Marion au grand public au travers d’une longue entrevue sur ses envies de paternité et sa réalité de famille.
Dans une récente publication Facebook, l’animateur a dévoilé la réaction de Marion, l’une de ses jumelles, alors qu’elle se découvrait pour la toute première fois en couverture du magazine. C’est tellement craquant comme façon de réagir :
« « Papa, est-ce que j’ai assez de sous pour acheter toutes les copies? » - Marion 7 Jours »La petite fille a l’air tellement fière et heureuse de se voir, entouré de son papa et de sa soeur, en couverture de ce magazine. C’est touchant à voir et sa réaction est adorable!
Dans sa plus récente entrevue, Joël Legendre explique accorder beaucoup de temps à sa famille récemment et avoir fair le bon choix en ayant trois magnifiques enfants :
« Je suis très occupé cet été, mais l’été dernier, je n’ai pratiquement rien fait d’autre que de m’occuper de mes filles. J’étais le G.O. du rondpoint de mon quartier! Parce que nous avons une piscine à la maison, plusieurs enfants sont venus chez nous. J’ai surtout aimé avoir mes trois enfants à la table. Lambert aura 19 ans en octobre. Sans la pandémie, il aurait vécu sa vie de jeune adulte au cégep. Comme il était à la maison, j’en ai tellement profité! […] Dans une vie, c’est rare d’avoir autant de temps avec nos enfants. Et j’ai remarqué qu’une belle relation s’est tissée entre les filles et Lambert. Ils ont 12 ans de différence; c’est un grand écart d’âge. Comme ils étaient beaucoup ensemble, Lambert a pu souder sa relation avec ses sœurs, et il est devenu leur idole.
[…] J’ai travaillé fort pour devenir père. Dans mon désir d’avoir des enfants, je me suis rendu compte que j’étais beaucoup plus tenace que je le croyais. À l’école, j’étais le petit gars qui se faisait tabasser. Mon père me disait de me défendre, mais j’avais l’impression que je n’en étais pas capable. Jusqu’au jour où j’ai décidé que je serais père. Rien ni personne ne pouvait m’arrêter! J’étais convaincu que mon projet de fonder une famille allait fonctionner. […] Malgré le fait que je ne sois pas hétérosexuel, j’avais le droit d’avoir une famille, d’être père moi aussi. Lorsque j’ai fait la démarche d’adoption il y a plus de 18 ans, il n’y avait pas beaucoup de pères gais célibataires. Même les mères porteuses n’étaient pas une option répandue pour devenir parent. »
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