Guy A. Lepage dévoile la seule chose qui le fait pleurer dans la vie.

Guy A. Lepage, que l’on connaît surtout comme animateur emblématique de Tout le monde en parle et figure incontournable du paysage médiatique québécois, s’est récemment dévoilé sous un jour plus intime lors de son passage à l’émission Y’a du monde à messe.

Invité de Christian Bégin, il a troqué son habituel rôle d’intervieweur pour celui d’invité, et s’est prêté au jeu des confidences avec une authenticité désarmante.

Dans ce rendez-vous télévisuel chaleureux et vibrant, où se croisent chaque semaine des personnalités de tous horizons réunies par un fil conducteur secret, Guy A. a surpris bien des téléspectateurs en abordant un sujet qui lui tient particulièrement à cœur : sa famille.

Si son esprit analytique et son humour bien aiguisé sont bien connus du public, son côté paternel, lui, reste beaucoup plus discret. Et c’est précisément ce pan de sa vie qu’il a accepté de mettre en lumière.

Avec émotion et tendresse, il a parlé de ses trois enfants : Théo, son fils aîné, qui aura bientôt 34 ans, ainsi que Béatrice, née en février 2010, et Thomas, né en août 2014, issus de son union avec Mélanie Campeau, qu’il a épousée le 16 juin 2018.

Guy A. a raconté à quel point sa famille le comble, évoquant les petits moments du quotidien, les fiertés discrètes et l’amour immense qui l’anime en tant que père. On sentait dans ses mots une sincérité rare, un attachement profond à ses enfants et une grande sensibilité qu’on voit peu souvent à la télévision.

''Je suis à l’étape où je trouve ça touchant. Tu sais, à mon âge, puis depuis quelques années, je suis touché de voir où je suis rendu dans ma vie amoureuse, avec mes enfants, avec ma famille. Puis le fait que malgré que ma carrière va bien, le vrai bonheur, puis l’essentiel, c’est tes enfants.

Je suis capable de faire un show à la St-Jean devant 300 000 personnes, puis être f*cking pas nerveux, je sais ce que j’ai à faire. Puis ma fille ou mon gars jouent en musique, ils font une chorale ou ils font leurs exercices de piano, et je braille comme une Madeleine (…) Puis moi, je n’ai jamais braillé pour ce que j’ai fait en 40 ans.

Je m’effondre quand mes enfants chantent quelque chose, mais je ne pleure jamais quand je fais mes affaires.''

Ce passage marquant à Y’a du monde à messe a permis de découvrir un homme ému, reconnaissant et touché par la vie qu’il a bâtie autour de ses proches. Une facette douce et humaine de Guy A. Lepage qui, loin des débats et des échanges musclés, nous a rappelé que derrière chaque figure publique se cache avant tout un cœur de parent.