Camille Felton dévoile avoir une dépendance et la réaction de Maxime Gibeault retient l'attention

Camille Felton était récemment de passage au balado Party Pyjama à l’occasion du 20e épisode, disponible sur les principales plateformes d’écoute.

Connue du public québécois depuis son enfance grâce à ses nombreux rôles à la télévision et au cinéma, la comédienne s’est montrée particulièrement ouverte et vulnérable durant cette entrevue. Elle y a fait une confession qui a résonné chez bien des auditeurs : sa dépendance au magasinage.

Avec beaucoup de sincérité, Camille a expliqué qu’elle avait parfois eu du mal à contrôler son envie d’acheter, au point de se joindre à un groupe de soutien spécialement conçu pour les personnes qui, comme elle, dépensent de manière compulsive.

« C’est un peu comme les alcooliques anonymes, mais pour les acheteurs », a-t-elle expliqué.

Ce geste, pour elle, était une façon de reconnaître le problème et de tenter d’y faire face de façon constructive. Elle a raconté que lorsqu'elle était à Vancouver, ses week-ends se résumaient presque systématiquement à des virées dans les boutiques.

Et une fois revenue à Montréal, le scénario s’est répété. Cette habitude, bien que difficile à contrôler, ne l’a jamais quittée complètement, mais elle apprend aujourd’hui à la gérer avec plus de lucidité.

Si les animateurs l’ont écoutée attentivement, ce sont surtout les réactions autour de ce segment qui ont fait parler. Plusieurs internautes ont reproché à Maxime Gibeault, co-animateur du balado, son attitude jugée insensible et même moqueuse.

Des extraits circulant en ligne ont alimenté la discussion, où beaucoup ont partagé l’avis que le sujet aurait mérité d’être abordé avec davantage de sérieux et de compassion. Malgré tout, Camille n’a pas semblé se laisser atteindre par ces remarques et a continué de s’exprimer avec calme et authenticité, démontrant une belle force intérieure.

Ce passage à Party Pyjama a donc permis de découvrir une Camille Felton plus intime, prête à se montrer sous un jour différent, loin des caméras de fiction. En partageant son expérience de façon honnête, elle met en lumière une réalité encore peu discutée, celle de la dépendance au magasinage, qui touche pourtant de nombreuses personnes.

À travers ses confidences et ses projets de vie, la jeune comédienne rappelle qu’il est possible de conjuguer vulnérabilité et force, tout en continuant à avancer avec détermination vers l’avenir.

Rappelons que Camille Felton et Maxime Gibeault ont partagé la vedette dans la série La dérape.