Arnaud Soly a récemment dû être opéré et il dévoile les détails

Arnaud Soly s’est taillé une place unique dans l’univers de l’humour québécois grâce à son style décalé, ses vidéos virales et ses sketchs où l’absurde côtoie la tendresse. Mais derrière l’humoriste au sourire contagieux se cache un homme qui, comme tout le monde, vit des moments de bonheur et des épreuves difficiles.

Tout récemment, il a partagé un bilan de son été sur les réseaux sociaux, et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il n’a pas manqué d’occupations.

Avec son humour habituel, il a raconté avoir gravi une montagne en Gaspésie, multiplié les pique-niques et battu son propre record de pêche avec cinq poissons (contre zéro auparavant).

Il a aussi souligné, avec fierté, avoir franchi la barre impressionnante des 50 000 billets vendus pour son spectacle Bon Jus. Entre les tournées et les moments de scène, il a pris du temps pour ses filles, accumulant avec elles des coquillages et des roches qu’il promet de garder précieusement.

Cependant, l’été n’a pas été que réjouissances. L’humoriste a révélé avoir dû subir une opération pour se faire enlever la vésicule biliaire, une expérience qu’il a racontée avec son autodérision habituelle, minimisant l’épreuve avec humour. Plus profondément encore, il a confié avoir été bouleversé par le décès de son père, survenu en mai dernier.

'' Gros été qui s’achève. J’ai :

- dû faire enlever ma vésicule biliaire (paraît que ça sert pas à grand-chose)

- monté une montagne en Gaspésie (je salue au passage les 400 Français qui ont aussi réussi l’exploit cette journée-là)

- fait beaucoup de pique-niques

- pêché 5 poissons (pulvérisant du même coup mon record précédent de zéro poisson)

- dépassé le cap des 50 000 billets vendus avec mon spectacle BON JUS (brag)

- ramassé beaucoup trop de roches et de coquillages avec mes filles (oui oui, on va les garder pour toujours, mes chéries)

- beaucoup pleuré le décès de mon père mais aussi, beaucoup ri avec ma famille et mes amis.

La vie continue. ''

Dans un message empreint d’émotion, Arnaud avait décrit l’immense vide laissé par cette disparition soudaine et a rendu hommage à un homme qu’il qualifiait de doux, réfléchi, aimant et toujours présent.

« Mon papa nous a quittés subitement, laissant un vide immense dans nos vies. C’est la plus dure épreuve que j’ai vécue », écrivait-il, avant d’ajouter qu’il n’arrivait pas à croire qu’il ne le reverrait plus. Ses mots, pleins d’amour et de sincérité, ont touché ses admirateurs et rappelé combien, derrière la figure publique, il y a un fils profondément affecté par la perte d’un être cher.

Entre les larmes et les rires, Arnaud Soly continue d’avancer. Il jongle avec les contrastes de la vie : le succès professionnel, la joie d’être entouré de sa famille, mais aussi la douleur des épreuves personnelles.

À travers ses partages, il démontre qu’on peut rire même au cœur de la tempête, et que l’humour, souvent, devient une force qui aide à surmonter le pire.