Après la politique, Gabriel Nadeau-Dubois partage de rares photos personnelles en vacances au Québec

Depuis l'annonce de sa retraite de la vie politique en mars dernier, Gabriel Nadeau-Dubois savoure une toute nouvelle existence, plus calme, plus simple, et surtout, plus humaine.

Après des années plongé dans le tumulte de l’Assemblée nationale, sa vie a complètement changé dans les derniers mois. Et selon ses propres mots, ce changement est pour le mieux. Il redécouvre le plaisir des moments présents. Il passe désormais plus de temps avec sa conjointe, ses enfants et ses proches, mais surtout, il est véritablement présent dans ces instants.

Ce n’est pas seulement une question d’horaires allégés : c’est une question de qualité de vie, de respiration retrouvée.

Il y a un peu plus de trois mois, Nadeau-Dubois annonçait non seulement qu’il quittait son rôle de co-porte-parole de QS, mais aussi qu’il ne solliciterait pas de nouveau mandat comme député. Une décision mûrement réfléchie, motivée par un besoin urgent de retrouver un équilibre personnel et familial. Il a toutefois également annoncé qu'il terminerait son mandat de député de Gouin.

Aujourd’hui, c’est plutôt au bord d’un lac tranquille qu’il médite sur son avenir. Il a récemment partagé une photo de lui avec sa fille Hélène, sur le bord de l'eau, entouré de calme et de verdure.

Une image qui parle d’elle-même : Gabriel Nadeau-Dubois profite pleinement de ses vacances, apaisé, recentré, et visiblement heureux de ce choix de vie qui lui permet enfin de respirer… pour vrai.

Malgré ce nouveau chapitre paisible, il garde un regard lucide sur ses années en politique. Comme il le disait dans un récent article de La Presse, il souligne avec fierté les moments où il a pu se sentir véritablement utile : aider une famille à éviter l’itinérance, faire adopter un amendement discret mais significatif, faire progresser des idées dans l’espace public.

Ces victoires concrètes, souvent discrètes, lui ont donné un sens profond à son engagement.

Mais il ne cache pas non plus ce qu’il ne regrettera pas : les débats internes, les tensions constantes, les querelles partisanes qui, à la longue, usent même les plus déterminés.

Aujourd'hui il respire mieux, il n'y a pas de doute.