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Voici pourquoi l'ex d'Elisabeth Rioux restera en prison
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Voici pourquoi l'ex d'Elisabeth Rioux restera en prison

Il est incarcéré après avoir été déclaré coupable de violence conjugale.

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Actuellement détenu en prison, l'ex-conjoint d'Elisabeth Rioux restera derrière les barreaux étant donné son manque d'efforts en matière de réhabilitation, rapporte le Journal de Montréal. 

Bryan McCormick ne sortira donc pas après avoir purgé le sixième de sa peine. 

« Vous ne vous êtes mobilisé dans aucune mesure thérapeutique sérieuse avant l’incarcération. Vous ne produisez aucun renseignement permettant de croire que votre prise en charge pourrait s’amorcer au cours de la mesure libératoire que vous sollicitez », est-il écrit dans la décision de la Commission québécoise des libérations conditionnelles à son sujet et consultée par le quotidien montréalais. 

Rappelons que, plus tôt cet été, il avait reçu une sentence de six mois de prison après qu'il eut frappé, menacé de mort et étranglé plusieurs fois son ex-conjointe, même alors que cette dernière était enceinte. Il l'aurait notamment menacée de la brûler vive ou de l'achever d'une balle dans la tête, en plus de détruire ce qui lui appartenait. 

« La violence que vous avez déployée n’est pas situationnelle ou circonstancielle. Vous avez sciemment choisi la violence à l’égard de votre partenaire intime comme moyen de contrôler votre environnement conjugal. Les délits sont objectivement graves, de nature à laisser des séquelles importantes à la victime », ajoutent les commissaires durant l'audience à laquelle le Journal de Montréal assistait. 

De son côté, McCormick a affirmé ne pas être une « personne violente ». Il a tout de même ajouté que la blessure qu'il avait causée à la lèvre de la femme d'affaires avait été faite « en lui faisant un bisou ». 

« Vous louvoyez, et dites qu’il y a deux côtés à une médaille », ajoutent les commissaires dans la décision, en estimant que McCormick doit prouver sa « sincère motivation à investir une réelle démarche de changement ».

« Considérant l’ensemble des éléments du dossier [...], la Commission considère que le risque de récidive que vous présentez est inacceptable compte tenu de la nécessité de la protection du public », ajoute-t-on.