Sugar Sammy remet solidement à sa place un journaliste français avec une réponse parfaite

Sugar Sammy est l'un des humoristes québécois qui a le plus de succès à l'international et il fait notamment un véritable tabac en France, comme disent nos cousins. L'humoriste était de passage sur le plateau de l'émission «L'info du vrai: Le Mag», sur les ondes de Canal + et il a abordé plusieurs sujets. Mais le moment le plus percutant de l'émission a sans aucun doute été lorsque l'animateur lui a demandé pourquoi il disait que le public français était un public difficile.

« Qu'est-ce que vous voulez dire un public difficile? À part exigeant. Un public exigeant on voit, il veut de la qualité. Mais difficile? »

C'est alors que Sugar Sammy répond: « Parce que vous ne venez pas à un spectacle d'humour pour rire, vous venez pour juger. Vous voyez comme vous avez les bras croisés tous les deux. C'est exactement ça le public français. C'est la preuve. Détendez vous un petit peu. Vous pouvez sourire un peu, vous n'avez pas souri une fois aujourd'hui! »

Une réponse qui a visiblement beaucoup plu à l'auditoire présent sur le plateau, puisque ses commentaires ont été accueillis par des rires et des applaudissements.

Voici la fameuse vidéo en question:

En quelques heures, la publication a récolté plus de 1 600 mentions j'aime, en plus de générer de très nombreux commentaires. En voici d'ailleurs quelques uns que l'on a spécialement sélectionnés pour vous:

« Love it, slap shot dans les dents... enfin, ceux qu’on suppose car on ne les voit pas? »

« quand tu reviens je nous prend des places. Je l ai déjà vu 2 fois mais azy il est trop drole » 

«Le pro 

de l'impro...
tu les as mis au K.O
OH OH OH »

« Tu me fais tellement rire, tu me fais du bien. Merci!
Hâte de te voir à la maison, t'sais le Québec là ;) »

« Lol tu les a pas manqué! Me semble que c’est pas quelque chose à faire de se croiser les bras a la télé. C’est tellement signe de fermeture, de non intérêt à la discussion... »

« voila pourquoi j'adore ce mec ! Il dit tout hait ce que beaucoup pense ... »