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Sophie Durocher dit le fond de sa pensée au sujet du retour de Maripier Morin
Courtoisie 

Sophie Durocher dit le fond de sa pensée au sujet du retour de Maripier Morin

Elle revient sur la controverse de la nomination de Maripier Morin au gala Artis.

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Alors que le retour de Maripier Morin dans la sphère publique ne fait pas l'unanimité, la chroniqueuse Sophie Durocher s'est portée à la défense de celle qui avait été visée par allégations l'été dernier.

Dans sa chronique intitulée Maripier Morin: l’acharnement publiée vendredi dans le Journal de Montréal, Sophie Durocher n'a pas de mots tendres envers les personnalités publiques qui s'opposent à la nomination de la comédienne et animatrice au Gala Artis.

« Ils sont outrés que la comédienne de La faille se retrouve dans la catégorie « rôle féminin, séries dramatiques saisonnières ». Excusez-moi, les amis, mais vous voudriez quoi ? Que Maripier Morin se cache sous une roche pour les 60 prochaines années ? Jusqu’à quand va-t-elle être sur le banc des punitions ? », demande la chroniqueuse. 

Rappelons que, cette semaine, de nombreuses vedettes québécoises ont dénoncé la nomination de Maripier Morin au gala, moins d'un an après les dénonciations à son endroit, l'été dernier. Parmi elles, Katherine Levac, Catherine Brunet, Magali Lépine-Blondeau, Arnaud Soly, et plusieurs autres. 

« J’aimerais rappeler à tous ces artistes aimés du public que c’est, justement, le public qui vote pour les nominations au gala Artis. C’est au moyen d’un sondage Léger que l’on détermine qui se retrouve sur la liste des finalistes. C’est monsieur et madame Tout-le-Monde qui ont donné spontanément le nom de la comédienne et qui l’ont « réhabilitée » », ajoute Sophie Durocher à l'endroit de ces personnalités. 

La chroniqueuse déplore également qu'Arnaud Soly et Félix-Antoine Tremblay aient caché le nom de Maripier Morin de la liste des finalistes pour faire savoir leur point. « C’est ça qu’on appelle la « culture de l’annulation ». Quand une personne nous déplaît, on la fait disparaître. Mais pourquoi cette censure ? Est-ce que ça va rendre justice à la victime ? », accuse Sophie Durocher. 

« Mais dans combien de temps allez-vous accepter que Maripier Morin « la pécheresse » tourne la page sur son passé ? À quelle sentence l’avez-vous condamnée : cinq ans, dix ans ou à perpétuité ? », demande ensuite la chroniqueuse, qui déplore également que Mariloup Wolfe ait eu à justifier son choix devant « un tribunal de la bien-pensance ». 

Lisez sa chronique complète ici