Il ne regrette pas son choix !
Richard Z. Sirois, que le public a entre autres connu dans Rock et Belles oreilles, a décidé de complètement changer de vie et de déménager en Gaspésie l'été dernier. En entrevue au magazine 7 Jours, l'humoriste a décidé de confier ce qui l'avait poussé à prendre cette décision.
C'est le 12 juin dernier, après avoir reconduit sa fille Julianne chez sa mère qu'il a consulté son GPS et décidé de la suite des choses.
« L’été dernier, ma fille m’a appelé parce qu’elle avait absolument besoin d’un lift pour transporter son matériel. C’était le 12 juin. Je l’ai conduite chez sa mère puis, vers 14 h, j’ai regardé mon GPS pour voir combien de temps ça allait me prendre pour retourner à la maison. Ça représentait 2 h 15 de route. Ça faisait 20 ans que j’étais dans le trafic. C’est à ce moment-là que j’ai pris ma décision », a-t-il confié à propos de sa décision de quitter pour de bon son condo à Saint-Jérôme, dans les Laurentides.
« J’ai remis les clés le 25 septembre au matin, puis j’ai rempli l’auto et, le soir même, je dormais à Matane. Depuis, c’est le paradis pour moi. Parfois, je regrette d’avoir passé 20 ans sur l’Autoroute des Laurentides... », a-t-il ajouté.
« Mes parents sont originaires de Matane. Du côté de mon père, ils étaient 9 enfants, et du côté de ma mère, 14. J’y suis né en 1956. J’avais six ans quand mes parents ont déménagé à Montréal. Nous étions cinq enfants. Pour nous, c’était le paradis, avec le fleuve, les rivières, les chalets familiaux... », se souvient l'humoriste à propos de son enfance, justement passée en Gaspésie.
Il n'a d'ailleurs pas tardé à trouver de nouveaux projets, sitôt emménagé. « Quelques jours après que j’ai emménagé, en septembre dernier, je recevais un coup de téléphone de Kaméléart, qui me demandait de me joindre à eux », a-t-il fait savoir, ajoutant qu'il a également obtenu une chronique à la radio de Radio-Canada et été nommé conseiller au Parti québécois dans la circonscription de Pascal Bérubé. « Je me suis impliqué très rapidement dans la communauté en arrivant ici », souligne-t-il.
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