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Richard Martineau en rajoute une couche sur les scandales sexuels

Tous les détails à l'intérieur...

Monde de Stars

Richard Martineau est visiblement très touché par les événements dans l'actualité. 

Le chroniqueur en a beaucoup parlé, tant à la télévision, qu'à la radio et à la télévision. Voilà qu'il utilise maintenant Facebook pour s'exprimer...

Et il ne semble pas comprendre la notion de harcèlement. 

Après avoir parlé d'une fille entrée dans son bureau avec un veston et sans chandail (et avoir sous-entendu qu'elle voulait lui faire «une pipe»), il raconte aujourd'hui une nouvelle anecdote:

«Il y a plusieurs années, j'ai coanimé une ligne ouverte à la radio pendant deux semaines...

Je remplaçais le coanimateur qui était en congé de maladie...

L'animateur de la ligne ouverte passait son temps à surfer sur des sites pornos PENDANT l'émission ! Pendant qu'il parlait aux auditeurs, il surfait sur des sites de cul...

Et régulièrement, il me montrait des photos de gars bandés sur son ordi... Tout en me parlant de ses trips échangistes bisexuels...
L'expérience professionnelle la plus désagréable de ma vie...

C'est-tu du harcèlement, ça ?»

Richard Martineau a fait beaucoup réagir sur la toile, après qu'une conversation à la radio ait été repartagée par La clique du plateau. 

Il s'insurge contre le mouvement #moiaussi qui ne cesse de prendre de l'ampleur sur Facebook et qui a permis de détrôner Éric Salvail et Gilbert Rozon. 

En total désaccord avec cette façon de faire, il s'est livré à un témoignage à la fois percutant et malaisant. Il y raconte d'ailleurs une anecdote, un jour où une jolie femme est entrée son bureau sans chandail sous son veston.

Voici son histoire:

«J'étais rédacteur en chef de voir. Y'a une fille, un super pétard, vraiment, une super belle fille, elle vient se chercher une job de pigiste, elle entre dans mon bureau, elle ferme la porte, elle avait rien sous son veston, elle avait rien en-dessous, tu voyais toute la craque des seins. Elle se penchait au-dessus de moi, elle dit "Ah moi j'aimerais ça faire des piges au journal", visiblement c'était genre "Je suis prête à faire n'importe quoi pour avoir une pige, pis je suis prête même à te faire une pipe pour avoir une job". Pis là les gars me regardait parce que mon bureau est vitré, les gars me regardaient en souriant, parce qu'ils la connaissaient cette fille-là, pis elle était connue pour ça [...] Elle était vraiment belle et elle me faisait le coup. Moi je l'ai pas pris comme pigiste parce que je le trouvais pas bonne, pis elle me tapait sur les nefs pis ce genre de méthode là c'est non. Je l'ai pas prise et elle a sacré son camp. Voulez-vous que je nomme son nom? Voulez-vous que j'écrives ça sur Facebook mesdames? Voulez-vous que je la traite de salope? Balance ta salope, balance ta cochonne. La fille qui veut baiser, qui veut faire une pipe pour avoir une job. Okay je vais mettre son nom moi. Je vais faire une page Facebook pis je vais la nommer. Elle travaille à La Presse aujourd'hui cette fille-là.»

Et il insiste: «Balance ta cochonne, on part ça, aweille les gars, #balancetacochonne».

Richard Martineau a-t-il raison d'être en colère contre le mouvement #moiaussi? 

Pour écouter l'entrevue, c'est ICI.

Il y a plusieurs années, j'ai coanimé une ligne ouverte à la radio pendant deux semaines... Je remplaçais le...

Posted by Richard Martineau on Wednesday, October 25, 2017

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