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Marie-Claude Savard révèle la chirurgie esthétique qu'elle a subie

«J'ai annulé l'opération à deux reprises, car j'avais peur. »

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En entrevue avec le magazine La Semaine, Marie-Claude Savard a confié sans pudeur avoir subi une chirurgie de redrapage mammaire et a également donné des détails sur les autres traitements esthétiques qu'elle a eus. 

« J'appelle ça ma reconstruction post-accouchement. Le processus a duré plusieurs années et il est venu avec des questionnements profonds. Une reconstruction post-accouchement passe par le physique, mais aussi par d'autres enjeux : accepter le fait d'avoir changé, mais aussi que notre corps a fait quelque chose d'extraordinaire. Il faut voir où on se situe. Personnellement, je me disais qu'il fallait composer avec le champ de bataille... Entre autres choses, j'ai dû rééduquer mon plancher pelvien », confie-t-elle au sujet des raisons qui l'ont poussée à passer sous le bistouri.

« Lorsque j'ai allaité, mes enfants préféraient le sein droit. En post-allaitement, je me suis retrouvée avec un sein plus gros que l'autre. On a corrigé l'asymétrie, repositionné les mamelons et enlevé la glande mammaire. J'ai annulé l'opération à deux reprises, car j'avais peur. (...) Comme je n'avais pas besoin d'une anesthésie générale, ça m'a convaincue. Je craignais l'anesthésie. Je veux bien accepter mon corps, mais comment pouvais-je profiter des années à venir ? Je trouvais que cette intervention était une bonne chose pour l'estime de soi, la vie sexuelle, mais aussi comme femme », dit-elle.  

Pour son plancher pelvien, elle a eu recours au Ensella. « Malheureusement, c'est souvent difficile d'être soignée au public », se désole-t-elle.

Elle ne regrette aucunement ses choix. « J'ai eu le sentiment que je pouvais retrouver ce que j'avais perdu. La ligne est fine entre l'acceptation de soi et la possibilité de retrouver une certaine tonicité », dit-elle. 

Marie-Claude Savard avoir avoir décidé de parler publiquement de son expérience afin d'aider d'autres femmes à faire le meilleur choix pour elles. « Si je refusais d'en parler publiquement, c'est comme si je cachais ce que j'avais vécu », poursuit-elle. 

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Source: La Semaine