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Le Groupe Juste pour rire se place à l’abri de ses créanciers
Juste pour rire  

Le Groupe Juste pour rire se place à l’abri de ses créanciers

Des moments difficiles

Cimon Asselin

Le Groupe Juste pour rire se place à l’abri de ses créanciers. Tel que rapporté par La Presse, l'entreprise québécoise doit désormais plusieurs millions de dollars et elle annule ses festivals Juste pour rire ainsi que Just For Laughs pour l'été 2024. Un avis d’intention de faire une proposition en vertu de la Loi sur la faillite et l’insolvabilité du Canada a été déposé.


Malheureusement, nous venons d'apprendre que le Groupe Juste pour rire se place à l’abri de ses créanciers en raison d'une dette de plusieurs millions de dollars. On envisage maintenant une grande restructuration de l'entreprise.

Voici un extrait du texte de Julien Arsenault de La Presse sur le sujet : 



Selon nos informations, JPR traîne une dette d’environ 50 millions et ses pertes se sont chiffrées à environ 2 millions en 2023. Les coffres étaient à sec. Le groupe impute sa débâcle à la « période d’inflation » ayant suivi la pandémie – où ses activités se sont retrouvées sur « pause pendant deux ans » –, ce qui a fait considérablement augmenter ses dépenses.

De plus, le changement dans le secteur des médias s’est traduit par une baisse des budgets et « des plateformes de diffusion en continu ont rendu la production télévisuelle plus difficile »
.
- Julien Arsenault de La Presse



L'entreprise annule malheureusement ses festivals Juste pour rire ainsi que Just For Laughs pour l'été 2024. Un avis d’intention de faire une proposition en vertu de la Loi sur la faillite et l’insolvabilité du Canada a été déposé.
  
Les spectacles suivants sont également annulés : Waitress (les représentations au Théâtre St-Denis et la salle Albert-Rousseau), , Neev, Eve Côté, Jean-Sébastien Girard, Louis T, Mélanie Couture et Mesmer (représentations prévues pendant le festival).

Vous pouvez lire le texte de Julien Arsenault de La Presse en entier en visitant le lien plus bas : 

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Source: La Presse