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Le conjoint d'Éric Salvail a publié une photo de célébration vendredi et plusieurs vedettes sont révoltées
Twitter Éric Salvail  

Le conjoint d'Éric Salvail a publié une photo de célébration vendredi et plusieurs vedettes sont révoltées

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Le conjoint d'Éric Salvail, le courtier immobilier Martin Lemay, a suscité énormément de réactions, vendredi, en publiant dans sa story Instagram une photo sur laquelle on pouvait voir cinq bouteilles de champagne vides avec le commentaire « Parce qu'il faut célébrer parfois! »

Il n'est pas spécifié si c'est pour l'acquittement de Salvail que Martin Lemay avait envie de célébrer en buvant du champagne, vendredi, mais considérant que la décision a été rendue cette journée-là, plusieurs internautes ont manifesté leur inconfort. C'est notamment le cas d'Hugo Dumas qui a commenté la situation sur Twitter.

Voici la publication que le chroniqueur culturel de La Presse a faite sur son compte Twitter:

« Soit le copain d’Éric Salvail a fait des ventes record de condos cette année, soit il a un événement « spécial » à célébrer. »


Plusieurs personnalités publiques ont commenté la publication. Jean-Philippe Dion a écrit: « Ben voyons. Le jugement. Le jugement. »

Louis Morissette a fait référence au témoignage d'Éric Salvail pendant son procès en disant: « C’est farfelu, je ne suis pas le genre de personne qui boit du champagne »...

Plusieurs internautes ont noté qu'il y avait cinq bouteilles de champagne vides sur la photo, ce qui beaucoup pour deux personnes en confinement. Voici ce que Léa Stréliski a publié:

« (Mais y a un miroir ou y a 5 bouteilles?) »

Eugénie Lépine-Blondeau a ajouté: « Je me suis posé la même question. En tout cas, elles sont toutes bues! »


La semaine a été marquée par les acquittements successifs de Gilbert Rozon et d'Éric Salvail, les deux causes emblématiques du mouvement #MoiAussi, qui a éclaté en 2017. Dans un cas comme dans l'autre, le Tribunal a semblé croire beaucoup plus la version des plaignants que celle de l'accusé, mais dans les deux cas le juge a déterminé qu'il persistait un doute raisonnable.

Les deux décisions ont été très mal reçues au sein de la population et la confiance envers ls système judiciaire pour traiter les cas de violence à caractère sexuelle semble s'effriter de plus en plus.

S'il y a bien une leçon à tirer de cette semaine, c'est que les victimes devraient porter plainte dès qu'une agression survient parce qu'on vient d'avoir deux belles preuves qu'il est extrêmement dur de prouver hors de tout doute raisonnable une agression plusieurs années après les faits.

Source: Twitter Hugo Dumas