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Jonathan Roberge sur la vague de dénonciations «Il en reste d'autres et j'ai hâte que leurs noms sortent»
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Jonathan Roberge sur la vague de dénonciations «Il en reste d'autres et j'ai hâte que leurs noms sortent»

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Jonathan Roberge a une façon bien à lui de raconter des histoires et on doit dire qu'il a un don assez unique pour nous faire rire avec ses métaphores aussi imagées qu'originales. L'humoriste et animateur l'a prouvé une fois de plus en parlant de la récente vague de dénonciations sans précédent qui a déferlé sur le Québec au cours des derniers mois.

Pour lui, l'industrie culturelle québécoise comporte trop de « cousins qui savent jouer du piano ». Dans un extrait du podcast de Thomas Levac qui a été partagé sur sa page Facebook, Jonathan Roberge affirme:

« On est dans une culture de cousin qui sait jouer du piano. Ce que je veux dire par là... Tsé là, quand tu vas dans ta famille et il y a le cousin qui sait jouer du piano. Tout le monde l'aime, le cousin qui sait jouer du piano. Il a déjà fait un échange étudiant. Il sait parler un peu allemand, il fait triper le monde à Noël. 

Ce que le monde sait pas c'est qu'il s'étrangle en se crossant et en regardant de la criss de porn louche. Les cousins parfaits c'est ça. Mais, à Noël, le gars comme moi qui est nouveau dans une famille, qui arrive avec le look que j'ai, les gens se disent que je dois étrangler des bébés chiens et les crisser dans une poche de hockey, les frapper contre un mur et les lancer dans une rivière. 

Ils ne le savent pas que je bois de la tisane, que je lis des livres, que je suis tranquille, que je fais des crises d'angoisse, que j'aime ça faire des massages à ma blonde et que je suis féministe.

Mais le cousin qui sait jouer du piano, qui parait bien parce qu'il porte du Jack & Jones à Noël, osti lui est correct.

Et bien notre industrie c'est ça et le public voit ça comme le cousin qui sait jouer du piano et qui ne sait pas à quel point untel et untel sont des fuckin' trous de cul. C'est cool parce que j'étais content dans la vague de dénonciations dernièrement de voir certains de ces « cousins-là qui savent jouer du piano » voir leur nom sortir.

Je détestais entendre certains noms de chanteurs dans mon entourage et des gens qui disaient « Il est tellement bon, as-tu entendu son dernier album? ».

J'avais envie de dire « Tu sais-tu qu'il échange du weed à des filles de 17 ans pour avoir une pipe? J'étais content de voir certains cousins tomber. Il en reste d'autres et j'ai hâte aussi que ces autres noms-là sortent parce qu'on les voit partout et le monde tripe sur eux autres. Parce que le monde sait pas que c'est des trous de cul. »

Voici la vidéo en question qui a été publiée sur la page Facebook de Thomas Levac:

« Jonathan Roberge a une excellente métaphore à propos de la vague de dénonciation dans le monde des arts. On vit dans une culture de cousin qui joue du piano.

L'épisode au complet est sur mon Patreon. »

Jonathan Roberge sur la vague de dénonciation

Jonathan Roberge a une excellente métaphore à propos de la vague de dénonciation dans le monde des arts. On vit dans une culture de cousin qui joue du piano. L'épisode au complet est sur mon Patreon.

Posted by Thomas Levac on Monday, September 21, 2020

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Source: Facebook Thomas Levac