«Honteux qu’on accorde une tribune à cet être immonde…»
Jean-Nicolas Verreault n'a pas retenu ses mots sur son compte Instagram en dénonçant une situation en lien avec Gilbert Rozon qu'il juge inacceptable. En effet, alors que La Presse a accordé une tribune à Gilbert Rozon qui répond à un texte d'Isabelle Hachey et le comédien juge le tout inadmissible.
Jean-Nicolas Verreault a partagé une capture d'écran du texte de La Presse rédigé par Gilbert Rozon et il s'est simplement contenté d'écrire: «Honteux qu’on accorde une tribune à cet être immonde…»
Comme vous pouvez le lire, Jean-Nicolas Verreault ne mâche pas ses mots et n'hésite pas à qualifier publiquement Gilbert Rozon d'être immonde.
Voici le message qu'il a partagé avec ses abonnés.
Plusieurs personnes ont d'ailleurs réagi à sa publication, dont Guillaume Cyr qui approuve le message de son pair: «Mets-en» répond Guillaume Cyr.
«Je ne comprends pas… On se garde une “petite gêne”, non? Surtout que c’est de leur journaliste d’enquête qu’il parle?!? S’il fallait laisser une tribune à tous les accusés qui veulent se défendre, à tords ou à travers (et quand bien même à raison) en PLEIN PROCÈS, ça n’a aucun sens. Seul avec lui-même, il se dit la vérité vous croyez? Irrécupérable et irrespectueux…» commente une internaute sur la publication du comédien.
Jean-Nicolas Verreault n'est pas le seul à dénoncer la situation alors que de nombreux internautes se sont exprimés sur différents réseaux sociaux afin d'exprimer leur incompréhension quant à la situation.
«Il se cale tout seul. La Presse lui a laissé l’opportunité d’accélérer sa chute. T’inquiètes, ils le savent et l’ont publié pour ça» écrit un internaute sur Reddit.
«Le gars appelle des notions de base de consentement (genre, tu peux changer d’avis) "stalinien[,] une forme douce de totalitarisme émotionnel." …tab@&$. C’est d’un absurde digne d’une caricature.» commente un autre internaute sur la même plateforme.
Un autre internaute est convaincu que les éditeurs de La Presse savaient très bien ce qu'ils faisaient en accordant à Rozon une tribune:
«Soyons honnête, cette lettre là est la meilleure "farce" que Gilbert Rozon a jamais produite.
J'ai l'impression que les éditeurs de La Presse savaient exactement ce qu'il faisait en publiant ça. Ça valide entièrement les deux derniers texte et ça montre à quel point ce connard prétentieux vis dans son petit monde isolé et qu'il s'est convaincu lui-même qu'il est là pauvre victime dans cette histoire.
Va pleurer dans tes millions gros épais!»
Chose certaine, cette histoire n'a certainement pas fini de faire jaser
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