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Hugo Dumas compare le public de Si on s’aimait	à des adeptes d'une secte
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Hugo Dumas compare le public de Si on s’aimait à des adeptes d'une secte

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L'émission Si on s'aimait présentée à TVA continue de captiver le public, si bien que Hugo Dumas a comparé les téléspectateurs à des adeptes d'une secte. Dans son plus récent texte publié samedi matin dans La Presse, le chroniqueur y a même souligné que les « adorateurs de Louise Sigouin » comptaient maintenant leur « membre le plus influent », le chroniqueur Patrick Lagacé, comparable à Tom Cruise dans l'Église de la scientologie.

Rappelons que celui qui coanime également Deux hommes en or a confessé dans les pages du quotidien montréalais lui-même être un fan de l'émission. 

« Comme nous, Pat communie aux dualités et vénère l’approche Sigouin, qui consiste à nommer les choses (très important) et à reconnaître nos blessures de honte (encore plus crucial). Dans notre secte, l’office commence à 19 h. Et il y a toujours quatre assemblées de 30 minutes par semaine. Ça débute avec un sermon marmonné de Guillaume, suivi d’une remarque plate de Brigitte sur les %#*& d’oreillers de Sylvain, et ça se conclut avec une révélation touchante d’Amélie qui, désenchantée par son expérience relationnelle, songe à quitter le groupe », a-t-il illustré. 

« Les membres d’une secte arborent tous un symbole qui leur permet de se distinguer des non-croyants. Nous avons trouvé le nôtre dans l’épisode de mardi soir. C’est un tatouage du fauteuil de la sexologue Louise Sigouin, de préférence sur la cuisse droite. La gourou a donné sa bénédiction à ce choix iconographique en penchant sa tête bouclée sur le côté », poursuit-il, toujours en comparant le public à des adeptes d'une secte. 

Le moment fort de la semaine! ? Apprendre à nommer ses inconforts et ses besoins, ce n'est pas facile pour tous!...

Posted by Si on s'aimait on Thursday, May 20, 2021

Il précise que, si d'ordinaire, il est presque impossible de quitter une secte de sa propre initiative, que ce n'est pas le cas du mouvement d'admiration envers Louise Sigouin, « axé sur l'ouverture ». 

« On serait prêts à faire une exception pour l’entraîneuse et coiffeuse Amélie. Sortez-la de cet enfer sans étincelle, dieux de la codépendance. C’est triste de voir Amélie se morfondre avec un adulescent (Guillaume) incapable d’aligner une phrase complète sans grogner. Louise Sigouin fait un travail d’évangélisation intense avec Guillaume, mais l’illumination ne se produit pas. Guillaume reste dans sa caverne et Amélie part dans une vrille d’insécurité », note le chroniqueur. 

Lisez sa chronique complète ici


Source: La Presse