Guillaume Wagner ne lâche pas Martin Matte... et cette fois, il va très loin!

Cela fait maintenant plus de deux semaines que traîne cette guerre de mots entre Martin Matte et Guillaume Wagner.

Mais disons que c'est Guillaume Wagner qui semble avoir de la difficulté à passer à autre chose!

Malgré qu'il avait affirmé dès les premiers jours de la polémique qu'il ne reviendrait plus sur le sujet, l'humoriste est revenu sur sa parole dans le cadre de sa chronique à Gravel le matin...

Et il n'y est pas allé de main morte.

Dans une chronique où il raconte sa "nouvelle vie" depuis son accrochage avec l'humoriste préféré des Québécois, Wagner accroche une fois de plus l'auteur des Beaux Malaises.

«Les gens avaient raison quand même sur certains points. Il y a beaucoup de jalousie de ma part là-dedans. Parce moi, petite anecdote, mon rêve quand j’étais jeune, c’était d’être vendeur. J’avais postulé pour un poste, c’était mon grand rêve et j’ai été refusé. Pis à ce moment-là, je me suis dit : “Ah! je pourrais peut-être devenir humoriste pis si je suis assez bon, là peut-être que je vais avoir la chance de vendre des cochonneries». Et là, je vois Martin Matte qui vole mon rêve sous mon nez. Moi ça fait des années que j’essaie de critiquer le système de manière humoristique pis là c’est lui qui croque dans une tomate!», lance d'abord Wagner.

Il poursuit ensuite en justifiant ses attaques répétées contre Martin Matte en associant ces dernières aux "puissants" qui dirigent notre société, groupe de privilégiés auquel appartient Martin Matte selon Guillaume Wagner.

«Moi je pense qu’en humour, c’est quand même un devoir qu’on a de taper sur les puissants et c’est plate à dire, mais les puissants au Québec, ce qui est le plus populaire au Québec, c’est l’humour. Fek les gens les plus puissants dans le milieu artistique, ce sont les humoristes. C’est qui l’humoriste le plus puissant, c’est Martin Matte et je pense qu’être aussi puissant et avoir autant d’argent, ça vient avec des responsabilités et moi ça me tentait de lui remettre sous le nez.»

Pour entendre sa chronique complète, c'est dans la vidéo ci-dessous![pub]