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Gilbert Rozon est poursuivi au civil pour 1,7 M$ pour un viol allégué

Tous les détails à l'intérieur

Monde de Stars

Gilbert Rozon est ciblé par une nouvelle poursuite au civil alors qu'on apprend, jeudi matin, que la réalisatrice Lyne Charlebois lui réclame 1,7 million de dollars pour un viol allégué qui aurait eu lieu en 1982.

Voici un extrait de la poursuite, déposée jeudi matin au Palais de justice de Montréal:

« Depuis presque 40 ans, [Mme Charlebois] subit les séquelles de cette agression qui a profondément altéré le cours de sa vie. Par la présente procédure, elle demande que justice soit faite, que la vérité [...] soit démontrée, que les mensonges [de Rozon] soient exposés, qu’il paye pour les dommages qu’il lui a causés et qu’il soit condamné [...] pour dénoncer, punir et dissuader son comportement odieux. »

C'est la deuxième poursuite civile déposée contre le magnat déchu de l'humour, après celle de la comédienne Patricia Tulasne.

La Presse rapporte que c'est alors qu'elle commençait sa carrière de photographe que Gilbert Rozon aurait donné rendez-vous à Lyne Charlebois pour lui parler d'un éventuel contrat de photographie. Les faits se seraient déroulé en 1982 alors que Gilbert Rozon n'était pas encore connu.

Gilbert Rozon lui aurait dit qu’il avait « une grosse journée » et qu’il était préférable qu’ils se revoient en fin de journée. L’homme d’affaires se serait ensuite rendu chez Mme Charlebois vers l’heure du souper et il aurait accepté l’invitation de manger avec elle et son conjoint.

C'est après le repas que M. Rozon et Mme Charlebois auraient décidé de sortir pour « prendre un verre et discuter d’affaires ». Mais avant de s’y rendre, Gilbert Rozon aurait proposé d’arrêter chez lui quelques minutes. La plaignante aurait accepté, n’ayant « aucune raison de se méfier » de lui.

Dans la résidence, « soudainement et avec un regard de fou », il l’aurait tirée par la main vers la chambre à coucher. « Elle se souvient d’avoir eu peur, la plus grande peur de toute sa vie. Elle pensait que Rozon allait la tuer », peut-on lire dans la poursuite civile déposée jeudi au palais de justice de Montréal.

« Il la pénètre à froid, sans condom. Elle en ressent une douleur atroce », peut-on aussi lire dans la poursuite.


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