François Lambert en rajoute une grosse couche sur Julien Bournival et il ne mâche vraiment pas ses mots.
Il a l'air très remonté..!
Monde de Stars
Alors que Julien Bournival a fait couler beaucoup d'encre cette semaine, notamment en raison de ses dettes, François Lambert a réagi à une vidéo de l'influenceur qui se confie sur ses problèmes financiers.
Rappelons que c'est hier que l'une des vedettes du documentaire Alphas, a adressé « l’éléphant dans la pièce » dans une vidéo publiée sur les médias sociaux.
« Fait qu'on va adresser l'éléphant dans la pièce parce que je croule sous les dettes de 1.4 million, okay ? Premièrement, 1.2 million de ça, c'est une hypothèque, c'est ma maison. Donc oui, comme 99% de la population, j'ai une hypothèque (...) Ensuite de ça, oui, j'ai des dettes à Revenu Québec et Revenu Canada. C'est parce que j'ai fait de l'argent l'année passée. Pis oui, après ça j'ai des dettes de cartes de crédit parce que, comme tout bon entrepreneur, j'ai utilisé le crédit pour financer la croissance de mon entreprise », peut-on notamment l'entendre dire.
Par la suite, il évoque un de ses employés qui l'aurait mis dans une situation particulièrement délicate. « J'ai eu un employé hyper mal intentionné, qui nous a mis dans le trou de... give and take... un million et quelques », affirme-t-il.
Vous pouvez écouter l'intégralité de la vidéo ci-dessous:
De nombreuses personnes ont réagi à cette vidéo, dont François Lambert qui s'est fendu d'un tweet sans filtre.
« Notre mâle alpha par excellence justifie sa faillite en blâmant un ancien employé qui l'aurait mis dans le trouble, il dit que sa faillite c'est juste une maison (donc pas grave). Il dit que tous les hommes d'affaires utilisent leur carte de crédit pour se sortir du trou. Pour ça qu'il doit 40k à AMEX. (Je ne connais personne qui se sort du trou avec sa carte!!!) », peut-on lire.
« Une faillite doit être pris au sérieux, il y a des gens qui ne sont pas payés et ce n'est pas un mécanisme normal! C'est un mécanisme d'urgence pour dire que c'est la fin du party. Dans ce cas précis, on parle d'un train de vie qui ne concorde pas avec ses revenus », peut-on également lire.
« Quand je le vois pavaner en Floride alors qu'il se doit le cul au Québec, je ne peux m'empêcher de le mettre plutôt dans la catégorie crosseur que dans la catégorie "Entrepreneur ayant eu une erreur de parcours". Que ce soit Desjardins, Amex ou la ville pour les taxes c'est le reste de la population qui doit rembourser », déplore l'entrepreneur.