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En deuil, Éric Lapointe exprime toute sa tristesse

Tous les détails à l'intérieur...

Monde de Stars

Éric Lapointe a souligné le départ d'un frère, d'un ami, d'une légende, hier soir. 

En deuil, le plus grand rockeur du Québec s'est exprimé sur le décès du plus grand rockeur que la France ait jamais connue. On imagine ce que ça doit faire en dedans de voir son homonyme, son grand cousin, une idole, perdre son combat contre le cancer après des mois et des mois de lutte acharnée. 

«C’est un monstre sacré qui vient de s’éteindre, une inspiration pour tous les chanteurs de la francophonie», déclare-t-il. Éric chante des chansons de Johnny depuis qu'il est tout petit.

D'ailleurs, pour plusieurs québécois, la chanson «Ma gueule» appartient à Éric. En effet, cette composition était nullement connue au Québec avant que notre rockeur nationale l'interprète. Mais en France et à quelques autres endroits dans le monde, c'était Johnny qui lui avait donné sa force, sa grandeur. Impossible encore aujourd'hui de départir les deux interprétations. Elles se complètent et démontrent que les deux rockeurs avaient une connexion plus grande que nature. 

«C’est toujours plus facile quand tu ressens la chanson et que tu peux créer l’illusion que c’est toi qui l’as écrit. Je le dis souvent en show, après toutes ces années, j’ai l’impression que c’est ma toune», déclare Éric. 

Éric et Johnny avait eu l'occasion de la chanter ensemble pour deux soirs consécutifs au Théâtre Saint-Denis, en 2000. Si vous les avez déjà vu en spectacle individuellement, vous ne serez pas surpris d'apprendre que leur duo sur scène s'est rapidement transformé en duel.

«En répétitions et en soupant, on s’entendait super bien. Mais un coup qu’on était en situation de show, j’ai compris pourquoi c’est un monstre sacré», dit Éric. «J’ai compris aussi que je m’en allais à la guerre, qu’il ne me restait plus grand espace sur scène parce que le charisme du bonhomme prenait toute la place. Même les paroles se sont transformées pendant l’interprétation de la chanson. En sortant de scène, il m’a regardé et m’a dit : bonhomme, je croyais que tu allais me cogner». 

Le coach ajoute: «Il donnait des leçons d’interprétation à chaque fois qu’il prenait le micro». 

Des mots qui pèsent très lourd dans la bouche d'un coach vétéran de La Voix.

Revoyez en vidéo leur duo/duel magistral: 


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