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Émue, Anaïs Favron s'ouvre avec beaucoup de transparence sur la maladie de son père
Deux filles le matin

Émue, Anaïs Favron s'ouvre avec beaucoup de transparence sur la maladie de son père

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Anaïs Favron était de passage sur le plateau de Deux filles le matin, plus tôt cette semaine, pour parler d'un sujet délicat et déchirant: la maladie de son père qui a reçu un diagnostic pour la maladie de « démence à corps de Lewy », il y a quelques années. L'animatrice s'est confiée avec beaucoup de franchise et de transparence à une Marie-Claude Barrette empathique et à l'écoute.

« Il a eu son diagnostic il y a peut-être quatre ans, a affirmé Anaïs Favron. Mais quand il a eu le diagnostic, il allait bien au début. Nous on avait remarqué qu'il avait déjà des petits problèmes, mais c'est long le temps de faire les tests et d'avoir le diagnostic après ça c'est de voir ce qui s'en vient. Et là on le voit tranquillement dépérir. Le physique et le mental. 

Il avait 65 ans quand on a commencé à voir qu'il en perdait un peu. Là il vient d'avoir 69 ans, mais il ne nous reconnait plus depuis quelques mois. On avait déjà un chemin de commencé parce qu'on avait accompagné mes grands-parents. Avec mon père, j'avais accompagné mes grands-parents dans la démence, la perte d'autonomie, les pertes de mémoire... Donc on avait eu ces discussions-là avec mon père quand j'étais dans la fin vingtaine. Lui, accompagnant ses parents, nous disait ce que lui n'allait pas vouloir, ce que lui allait vouloir. Le dialogue était déjà amorcé.

Donc quand il a su qu'il avait cette maladie-là, mais beaucoup plus jeune, parce que mes grands-parents c'était 70-80, lui dans la soixantaine on ne s'attendait pas à ça. Alors on pensait que ça allait s'échelonner sur plus longtemps. Mais j'étais quand même contente de savoir ce qui allait arriver et de pouvoir profiter du temps qu'on avait avec lui. Le premier Noël qu'on a su, je l'ai amené avec moi en Martinique. On a voyagé ensemble, on le voyait plus souvent, comme on ne savait pas combien de temps on avait. Les petits enfants, tout le monde, on fait plus de brunchs, on fait plus de soupers...»

On vous laisse regarder la suite de cette entrevue touchante et pleine de vérité qui aborde sans tabou des sujets tellement importants.

Voici la séquence en question, qui a été publiée sur la page Facebook de Deux filles le matin:

« On débute l'épisode avec Anaïs Favron, dont le père est atteint de la démence à corps de Lewy. »

On débute l'épisode avec Anaïs Favron, dont le père est atteint de la démence à corps de Lewy. ✨

Posted by Deux filles le matin on Tuesday, March 2, 2021

Source: Deux filles le matin