District 31: Patrice Godin révèle un gros secret sur son personnage de Yanick Dubeau

Au cours des derniers mois, le comédien Patrice Godin est devenu l'ennemi public numéro un au Québec, avec sa troublante interprétation du sergent détective Yanick Dubeau, dans la populaire série policière District 31. L'enquêteur de jour et psychopathe de soir a finalement été arrêté et formellement accusé, dans l'épisode de jeudi dernier, dans un dénouement que tous les fans de la série attendaient avec impatience. Mais le beau et très manipulateur Yanick n'a pas dit son dernier mot!

En entrevue à l'émission Gravel le matin, sur les ondes d'ICI Radio Canada Première, le comédien Patrice Godin est revenu sur les proportions extraordinaires que ce rôle a pris dans sa vie, au cours des derniers mois. Et il en a profité pour nous donner quelques informations sur ce qui s'en vient...

Voici quelques extraits de l'entrevue:

« Un rôle qui fait autant jaser en bien et en mal, ce n’est pas quelque chose qui arrive souvent pour un acteur. Je suis super content de faire ça, je n’ai jamais joué un méchant aussi méchant. »

C'est vrai qu'on s'est fait la réflexion, au cours des derniers jours, qu'on ne se souvenait pas avoir détesté un personnage d'une série québécoise avec autant de force. Mais Patrice Godin nous prévient...ce n'est pas la fin pour Yanick Dubeau.

« Il n’a pas dit son dernier mot, Yanick, parce qu’il sait beaucoup de choses. C’est très complexe, et une boîte de verre va s’ouvrir », affirme le comédien en restant évasif.

On peut imaginer que ça doit être extrêmement difficile de jouer un personnage aussi machiavélique et que certaines scènes ont dû être particulièrement troublantes à jouer.

« L’épisode où Yanick tue Charlène Baribeau, qui était dans son sous-sol, j’y ai rêvé beaucoup, j’ai fait de l’insomnie, ça me troublait parce que j’étais habité par ça. En même temps, quand on a tourné des scènes difficiles comme celle-là, [que ce soit avec] avec Sophie Desmarais (Charlène Baribeau) ou Charlotte Legault (Amélie Bérubé), j’y allais à 200 %, puis je les serrais dans mes bras pour leur dire que je les aimais, que ce n’était pas vrai! »

Oh qu'on a hâte de voir la suite des choses..!

Voici l'entrevue en question, une gracieuseté de nos amis chez RadioEGO: