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Sophie Durocher défend farouchement Guy Nantel contre « le petit catéchisme des néo-féministes »
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Sophie Durocher défend farouchement Guy Nantel contre « le petit catéchisme des néo-féministes »

Elle ne mâche pas ses mots

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Après que Guy Nantel eut semé la controverse avec une vidéo sur le féminisme et la culture du viol où il argumentait avec l'humoriste Anne-Marie Dupras et l'autrice Lili Boisvert, Sophie Durocher s'est portée à la défense de l'auteur du Livre offensant. 

Dans une chronique publiée vendredi dans le Journal de Montréal intitulée Faut se parler de Guy Nantel, elle estime que l'humoriste a « juste posé des questions tout à fait légitimes au sujet des relations hommes-femmes ». 

« Mais parce qu’il a eu le culot de critiquer le petit catéchisme des néo-féministes, remettre en question le dogme, il est cloué au pilori par les grandes prêtresses », déplore-t-elle. 

Contrairement à plusieurs internautes et personnalités publiques québécoises qui ont trouvé les propos de Guy Nantel « toxiques », Sophie Durocher estime que c'était tout le contraire, même si elle concède que l'échange était « un peu cacophonique ». 

Elle revient également sur le moment où Guy Nantel exprime son désaccord envers les expressions « culture du viol » et « masculinité toxique ». « Il démontre par a+b que l’expression même de "culture du viol" ne tient pas debout au Québec. En effet, qui peut affirmer qu’ici, on valorise ou encourage les agressions sexuelles ? », estime-t-elle de son côté. 

Sophie Durocher est également d'accord avec Guy Nantel sur le fait qu'il se demande pourquoi une femme humoriste peut blaguer sur le non-consentement d'un homme, mais pas l'inverse ». 

La chroniqueuse qualifie ensuite certaines personnalités qui ont critiqué Guy Nantel, la professeure Martine Delvaux et la chanteuse Stéphanie Boulay, entre autres, de « pleureuses habituelles ». 

Sophie Durocher déplore également la décision du journal Métro d'avoir demandé l'avis d'Alice Paquet sur la controverse. Rappelons que la jeune femme avait en 2016 allégué que le député libéral Gerry Sklavounos l'avait agressée sexuellement. Par la suite, Guy Nantel avait fait plusieurs gags dans ses spectacles sur la jeune femme.

« Il va bien falloir un jour se demander pourquoi Mme Paquet, qui déplorait que Guy Nantel l’ait ramenée sous les projecteurs en parlant d’elle (sans la nommer) dans un spectacle d’humour, se remet constamment sous les projecteurs pour parler de lui à la moindre occasion », croit-elle. 

Lisez sa chronique complète ici.