Monde de Stars

Micheline Lanctôt lance un cri du coeur: «L'hôpital a tué mon conjoint»

Tous les détails ici

Monde de Stars

Monde de Stars

Micheline Lanctôt est une des comédiennes les plus respectées du milieu québécois. On a pu la voir vieillir à travers nos écrans aux fils des années et il faut dire qu'elle s'embellit à vue d'oeil. En plus d'être ravissante, on peut observer que l'expérience et la confiance améliorent grandement son jeu d'actrice.

Micheline Lanctôt passe des jours bien difficiles. Son conjoint des 10 dernières années est malheureusement décédé.  C'est le 10 mai dernier que Marshall Chrostowski est mort paisiblement à son domicile à Frelighsburg en Estrie, entouré de ses proches. 

Micheline Lanctôt lance un cri du coeur: «L'hôpital a tué mon conjoint»
Photo : Le Nécrologue

En 2014, Micheline Lanctôt avait raconté au magazine La Semaine qu'elle avait revu un ancien amoureux qu'elle avait connu en 1977 quand elle vivait aux États-Unis, après avoir été veuve durant 4 ans. 

Cette semaine, elle a signé une lettre ouverte avec Le devoir pour dénoncer le traitement que son conjoint avait eu au sein du système de santé. Elle considère que c'est les problèmes dans celui-ci qui ont mené à la mort de son amoureux:

« L’homme qui est entré à l’hôpital le 21 avril était âgé de 86 ans, mais fort, vigoureux, pleinement conscient et fonctionnel. L’homme qui en est ressorti n’était plus que l’ombre de lui-même, toujours conscient, mais hâve, affaibli, anxieux et peinant après son souffle »

Le manque de soin et le fait qu'il a développé la COVID à l'hôpital auraient précipité sa mort.

 Il aurait notamment eu un très mauvais traitement lors de son hospitalisation: «parqué dans le couloir d’une urgence saturée et bruyante où il ne [peut] pas se reposer », la COVID-19 qui frappe, services inadéquats" C’est moi qui change ses draps et ses serviettes et qui veille à ses besoins"»

Ainsi, c'est un bouleversant cri du coeur que Micheline Lanctôt nous a offert, pour informer la population des problèmes qui se trouvent dans le système de santé québécois.

Source: Le devoir