Denise Bombardier s'en prend sévèrement à ceux qui défient les mesures sanitaires

Dans une chronique pour le Journal de Montréal, Denise Bombardier vient en aide au premier ministre et affirme que « L'acharnement envers François Legault est injuste ».

La chroniqueuse est claire, il faut arrêter de s’en prendre à outrance à François Legault et particulièrement arrêter de lui faire porter tous nos maux. C’est le thème principal de sa nouvelle chronique dans le Journal de Montréal.

« Non, François Legault n’était pas à Wuhan en décembre 2019, dans le laboratoire chinois d’où le virus de la COVID-19 aurait surgi. Non, le premier ministre n’est pas responsable de tous nos malheurs actuels » écrit-t-elle en ouverture de son texte.

Selon elle, on ne peut pas blâmer le premier ministre pour les failles de notre système de santé ou encore pour les problèmes dans les CHSLD : « Il a eu la malchance d’être au pouvoir lorsque la pandémie s’est répandue ».

Selon elle, « François Legault a hérité de la politique dévastatrice du bon docteur Barrette » et il « ne peut être le bouc émissaire pour les morts dans les CHSLD ».

« Or, c’est sur François Legault que l’on s’acharne, lui qui n’a de cesse de fixer les yeux sur le budget de la santé qui atteint presque la moitié du budget total du Québec. Ce qui explique le délestage horrible que l’on connaît. » poursuit-elle. 

Denise Bombardier s’en prend également aux citoyens qui défient les mesures mises en place par le gouvernement qu’elle qualifie d’«agités» agissant de façon irresponsable et dangereuse.

« Les agités qui défient les mesures de santé, comme la pâtissière de Jonquière […] veulent-ils pratiquer vraiment cette désobéissance ? Le découragement réel de nombre de citoyens est certes compréhensible, mais toute tentative volontaire, ou plus ou moins consciente, de faire porter à François Legault la responsabilité des malheurs qui nous tombent dessus, est fort inquiétante. Et injuste. Et l’appel à la désobéissance civile est irresponsable, malvenu et dangereux. La majorité ne doit plus être silencieuse. La pire chose pour nous serait d’être plongés dans une crise politique, qui déstabiliserait davantage le Québec qui n’en peut plus de tenter d’espérer. »

- Denise Bombardier

Denise Bombardier prend d’ailleurs l’exemple de Stéphanie Hariot et Annie Turcotte qui ont ouvert leur pâtisserie malgré les mesures sanitaires. Elles seront les invitées de Guy A. Lepage, ce dimanche soir pour le nouvel épisode de Tout le monde en parle. 

Pour lire la chronique complète de Denise Bombardier, c’est sur le site du Journal de Montréal.