Monde de Stars

Debbie Lynch-White s'ouvre pour la première fois sur la maladie de son père

Tous les détails ici

Monde de Stars

Monde de Stars

Debbie Lynch-White est une comédienne adorée des Québécois. En effet, depuis de nombreuses années, elle a charmé le public par ses talents d'actrice. 

La majorité des gens ont notamment découvrir la grande comédienne grâce à son rôle de Nancy Prévost dans Unité 9 à Radio-Canada. Elle jouait le rôle d'une gardienne de prison très malcommode.

L'actrice a aussi joué dans plusieurs pièces de théâtre. En effet, elle est très connue du milieu pour être une excellente comédienne.

Elle est notamment connue par son interprétation de la Bolduc dans le film du même nom sorti en 2018. Le film avait été très populaire auprès du public québécois.

Debbie s'est ouverte lors d'une entrevue avec le magazine 7 Jours. Elle a abordé la maladie de son papa. 

Elle explique que c'est notamment cette maladie qui l'a encouragé à profiter au maximum de la vie et qui a créé chez elle une urgence de vivre.

Voici ce qu'elle a dit à ce sujet:

« C’EST À CAUSE DE MON PÈRE ET DE CE QU’IL A VÉCU. QUAND IL EST TOMBÉ MALADE, J’AVAIS 14 ANS. VOIR TOMBER MON HÉROS, CELUI AVEC QUI JE PARTAGEAIS TOUT, DES ACTIVITÉS CULTURELLES AUX ACTIVITÉS SPORTIVES, C’ÉTAIT TROUBLANT. NOUS FAISIONS TOUT ENSEMBLE, MON PÈRE ET MOI! LE VOIR TOUT PERDRE ET SE RETROUVER EN FAUTEUIL ROULANT EN MOINS DE DEUX ANS, ÇA M’A FORCÉE À ME CONNECTER AUX VRAIES AFFAIRES, À NE RIEN TENIR POUR ACQUIS, À ÊTRE HEUREUSE D’ÊTRE DEBOUT SUR MES DEUX PIEDS. OUI, IL Y A UNE GRANDE INTENSITÉ EN MOI, MAIS JE NE FAIS PAS D’EXCÈS. »

Ainsi, ayant côtoyé depuis très jeune la maladie, elle comprend profondément la chance d'être en bonne santé et profite au maximum de sa bonne forme. Elle est très reconnaissante de se réveiller tous les matins en santé:

« JE SAIS QUE LA SANTÉ EST PRÉCIEUSE. POUR AVOIR VU MON PÈRE LA PERDRE, JE SAIS COMME C’EST UNE CHANCE DE L’AVOIR. CETTE SITUATION A DONC CONTRIBUÉ À ALIMENTER MON URGENCE DE VIVRE. SI ÇA DEVAIT AUSSI M’ARRIVER, AU MOINS, J’AURAI VÉCU. DÈS MON ADOLESCENCE, J’AI ÉTÉ CONSCIENTE DE CELA. EN VIEILLISSANT, J’AI APPRIS À DOSER. JE SUIS HEUREUSE D’ÊTRE EN VIE ET EN SANTÉ. »

Ainsi, malgré que la maladie de son papa soit une épreuve pour elle, on peut clairement voir que Debbie en a retenu des leçons très précieuses.