Monde de Stars
Troublantes révélations sur la relation d'Éric Lapointe et Mélanie Chouinard
 

Troublantes révélations sur la relation d'Éric Lapointe et Mélanie Chouinard

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L'auteur Marc Fisher et sa conjointe Mélanie Chouinard publient demain le livre "La femme qui aimait trop", une histoire d'amour troublante fortement inspirée de la relation de Mélanie et Éric.

L'ex-mannequin, qui a fréquenté le rockeur Éric Lapointe pendant des années et a eu des enfants avec lui, s'ouvre à propos d'une relation trouble.

Les scènes de baise violente, d'alcoolisme et de débauche fusent de toute part dans le livre, et selon Marc Fisher lui-même, cela risque de faire scandale.

Bien que les noms aient été changés dans le livre, il est établi d'avance que les personnages d'Erica et Billy Spade sont en fait Mélanie et Éric.

Tous les recoins d'une relation malsaine sont explorés dans le livre. En entrevue à La Presse, Mélanie Chouinard met tout de suite les choses au clair: «On pourrait dire que 75 % des scènes du livre sont véridiques, comme leur rencontre et les premières nuits d'amour. C'est à peine romancé.»

Déjà, on chuchote que le livre pourrait valoir une poursuite de la part d'Éric Lapointe, mais le couple formée de Mélanie et Marc ont préféré s'abstenir de commentaires à ce sujet.

Voici deux extraits troublants du livre, tels que rapportés par La Presse ce matin:

«Il m'a réveillée en se glissant en moi sans me demander mon avis. Il était aussi fougueux que si c'était la première fois, alors que c'était déjà la quatrième ou la cinquième, je sais plus, car à un moment pendant la nuit j'ai eu l'impression qu'il m'avait envahie une autre fois. [...] Il avait son haleine de vodka et de cigarette, mais j'avais la même: à étalon qui te prend de façon débridée, même sans sourire Pepsodent du matin, tu dis pas non.»

* * *

«"Si tu entres dans ma vie, tu vas te sentir prisonnière, tu vas peut-être finir par te sentir laide, même si tu es la plus belle femme que j'aie jamais rencontrée. Non seulement je suis égocentrique, mais je suis capable d'être cruel."

Billy a défait sa ceinture, a baissé son pantalon, son boxer, et m'a montré sa virilité. J'ai dit:

- T'es gonflé, toi. Et j'ai ajouté, pour le piquer:

- Enfin pas vraiment assez pour me faire rêver.[pub]Crédit photos: Facebook

Source: La Presse